Re : Siemens
@LucV
Ce serait l'idéal, 25$, mais on devra pê accepter 26?
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@LucV
Ce serait l'idéal, 25$, mais on devra pê accepter 26?
* Le REX inférieur au consensus sur des charges liées à l'énergie * Réorganisation stratégique dévoilée, accord avec Rolls-Royce * Kaeser ne veut pas se retrouver forcé de faire une offre sur Alstom * L'action est en hausse en matinée (Actualisé avec des citations, cours de Bourse, contexte) par Noah Barkin BERLIN, 7 mai (Reuters) - Siemens SIEGn.DE n'entend pas se faire forcer la main pour soumettre une offre sur les actifs énergétiques d'Alstom ALSO.PA , après avoir dévoilé mardi soir un plan stratégique très attendu afin de faire jeu égal avec ses concurrents plus rentables. Le président du directoire Joe Kaeser préparait cette restructuration depuis sa prise de pouvoir l'été dernier, à la suite de l'éviction de son prédécesseur Peter Löscher consécutive à plusieurs avertissements sur les résultats. Avant qu'il ne présente ses projets sur le site historique "Siemensstadt" de Berlin, le conglomérat a publié mercredi un bénéfice plus faible que prévu au deuxième trimestre, en raison de charges dans le segment énergie, ainsi qu'une série d'accords de moindre ampleur. Siemens a confirmé mardi soir le rachat des activités d'énergie de Rolls Royce RR.L pour un montant d'environ 950 millions d'euros. ID:nL6N0NS6AG Il a également transféré une participation majoritaire de sa filiale autrichienne de métaux au japonais Mitsubishi Heavy Industries 7011.T avec lequel il a noué un accord de coentreprise dans le fer, l'acier et l'aluminium, la nouvelle entité devenant opérationnelle à partir de janvier 2015. La réorganisation dite "Vision 2020" prévoit une structure segmentée en neuf divisions au lieu de 16, tandis que les activités de santé seront gérées séparément et celle des prothèses auditives sera introduite en Bourse. "Le point principal est de saisir l'ampleur et l'intention définitive de cette séparation de la santé", a dit Ben Uglow, analyste de Morgan Stanley. "Même si ce n'est pas en soi une véritable scission légale, ça en prend pourtant le chemin". Interrogé sur l'avenir de la branche santé, Kaeser a vanté ses performances et bien précisé qu'une scission n'était pas à l'ordre du jour à court terme. Siemens veut ainsi se recentrer sur l'électrique, le numérique et l'automatisation pour aider les entreprises industrielles à produire avec plus d'efficacité. Ce recentrage est censé déboucher sur des gains de productivié d'un milliard d'euros par an, ressentis pleinement à partir de la fin de l'exercice fiscal 2016. L'action Siemens, qui avait ouvert en légère baisse, a très vite remonté et, avec un gain de 2,1% à 96 euros, représentait en fin de matinée la plus forte hausse de l'indice EuroStoxx 50 .STOXX50E des valeurs vedettes de la zone euro. L'indice des industrielles européennes .SXNP perdait 0,14% dans le même temps, tandos que l'indice Dax de la Bourse de Francfort .GDAXI prenait 0,17%. L'action Siemens a franchi la barre des 100 euros cette année, pour la première fois en six ans. Mais, selon des données Reuters, elle se traite encore avec une décote de 7,3% sur ses homologues europennes sur une base valeur d'entreprise/Ebitda à 12 mois. RESTAURER LA FIERTÉ La refonte de l'organigramme intervient alors que le groupe allemand est actuellement engagé dans un bras de fer avec son concurrent américain General Electric GE.N pour racheter les activités d'énergie d'Alstom. Paris reste sceptique vis-à-vis des intentions de GE et a encouragé Siemens à entrer en scène même si son offensive sur Alstom dix ans auparavant, alors que le groupe français était sous perfusion de l'Etat, n'a pas vraiment laissé de bons souvenirs. Joe Kaeser a dit qu'il avait discuté des risques et des avantages d'une offre avec la chancelière Angela Merkel, elle-même plutôt favorable à une opération franco-allemande. Mais il a bien insisté sur le fait que Siemens ne se laisserait pas forcer la main. "Nous avons l'occasion d'examiner les actifs pendant quatre semaines; alors nous prendrons une décision", a-t-il déclaré, ajoutant qu'il ne perdrait pas de temps avec Alstom si ses intentions n'étaient pas sérieuses. Sous la présidence de Peter Löscher, Siemens avait poursuivi une croissance externe agressive, alourdissant sa structure d'activités multiples et variées. Joe Kaeser, qui occupait la direction financière avant d'accéder à la présidence du directoire, veut restaurer un sentiment de fierté au sein d'un groupe distancé par des concurrents tels que GE et Philips PHG.AS pour ce qui est de l'innovation et de la rentabilité. Siemens a publié pour 2013 une marge d'Ebitda de 10,5%, alors que le suisse ABB ABBN.VX dégageait 14,8% et GE 18,9%, selon des données de Thomson Reuters. Symboliquement, Kaeser a choisi de faire sa présentation au sein du complexe industriel historique "Siemensstadt" de Berlin, qui abritait le siège social entre les deux guerres mondiales. Le bénéfice d'exploitation du deuxième trimestre clos au 31 mars est ressorti à 1,57 milliard d'euros, en hausse de 16%, et le chiffre d'affaires à 17,45 milliards. Les analystes prévoyaient en moyenne un bénéfice opérationnel de 1,7 milliard et un chiffre d'affaires de 18,1 milliards, selon le consensus établi par Reuters. Le bénéfice de la branche énergie a chuté de 54% à 255 millions d'euros, plombé par des charges de 310 millions liées à deux projets au Canada. "Le deuxième trimestre a montré que nous avons encore beaucoup à faire pour améliorer notre performance opérationnelle", a dit Joe Kaeser. "Néanmoins, nous sommes sur les rails pour atteindre nos objectifs sur l'ensemble de l'exercice", a-t-il ajouté, confirmant l'objectif d'augmenter le bénéfice par action de 15% au moins durant l'exercice en cours.
@tous,
Siemens, que j'attendais plus bas, peut y aller sans moi, voir article sur zone bourse, c'est pas la joie, peu de rentabilité, je ne sais plus qui sur le forum, parlait de mastodonte, cela se confirme avec 'des difficultés en vue pour la branche énergie' et 'en perte de vitesse face à ABB ou GE'
Amicalement
Birdie
Le démantèlement a commencé.
Cerner Corporation and Siemens AG have announced that they have entered into a definitive agreement for Cerner to acquire Siemens' health IT business unit, Siemens Health Services, for $1.3 billion in cash.
(Reuters) - Siemens is reorganizing its healthcare unit as a separate legal entity in Germany and in other countries as part of a move to give it more independence, it said on Thursday.
"As a separately managed business, healthcare will be better able to respond more efficiently to trends and to the expected paradigm shifts in the industry," Chief Executive Joe Kaeser said after reporting third-quarter results.
"We can react as the market demands at any time," Kaeser added in an interview with Reuters Television.
Préparation d'une spin-off?
@LucV
ce serait intéressant, mais j'ai bien d'autres actions en surveillance, alors SIE reste le mastodonte peu convaincant, pê, malgré tout autour de 85?
Je trouve les marchés nerveux, les banques Eur qui ont passé leurs stress tests et sont à la peine, le rouble qui chute, je me demande ce qui va arriver. les crises financières, les marchés n'aiment pas.
Amicalement
Birdie
Bizarre, je viens JUSTE d'analyser Siemens, ET FNC (Finmeccanica sur MIB)
et alors, tu ne penses quoi de Sie?
A ton avis etc, précautions d'usage, mais on aimerait l'avoir quand même ton avis?
C'est sûr c'est bon avoir; le voilà mha sais-tu bien =
** 1/ sans botter en touche: SIE je la laisse de côté; so why?:
==> en plein milieu d'une tête d'épaule donc on sait pas où va s'orienter lalamme (du couteau)= donc c'est une épée de Damoclès (pour l'instant)
==> Recos pas terribles (pour être poli)
==> J'at-ten-drai ...
** 2/ FNC: c'est plus avancé, fin de tête d'épaule positif
==> Recos meilleures
et cérise sur le chapeau
==> Trend HAUSSIER à moyen et long terme (neutre CT)
Seulement elle vient de prendre 10% en 2 séances suite aux résultats annoncés:
= Réduction des pertes
= Hausse des objectifs
Ouch' voilà = le graph' est intéressant; il y a eu des achats MONSTRES mercredi et jeudi (> 26M d'actions achetées)
J'y vais lundi à++
Bien à toi,
Peut-être l'un ou l'autre de nos blogueurs-suiveurs confirmeront-ils cette/ces "analyse(s)"
Ishimoku y ma rien di mais Uzbek peut-être
Vaut mieux un Ara qui rit qu'un Ishi mô ku qui pleure
@Mr Bond,
Merci pour ton analyse, ce qui me fait laisser Sie de côté, en plus très exposé à la Russie, il y a (avait?) qqch comme 3000 employés de Sie en Russie.
Certains disent que la Russie est l'achat contrarian par excellence, mais peut-être pas via Sie.
Vais regarder FNC, 10% en 2 séances, mais tu vas en prendre quand même, doit valoir le détour, en tt cas que je regarde.
Bonne soirée
Birdie
Bonjour à tous,
je reviens sur Siemens, car pê moins mastodonte obsolète que je ne le pensais, voir dans la langue de votre choix, des infos sur l'usine Siemens à Amberg qui développe, non seulement une unité de production entièrement automatisée mais dont les produits peuvent commandés et customisés via le Net, avant même qu'ils ne soient produits.
C'est la grande tendance, une sorte de sur-mesure écolo car pas de stocks, et on fabrique à la demande (et pratiquement sans ouvriers!), Basf a aussi lancé ce type d'usine pour ses shampoings et savons liquides.
C'est un vaste projet en DE 'Industrie 4.0' qui vise à rendre l'industrie encore plus compétitive. Y participent aussi Bosch et Wittenstein AG, le seul souci, et pas des moindres, est que ttes les données passent par Google, or la DE aurait pu continuer à s'entendre avec la Russie sans les US? (Hypothèse perso)
Pour ne pas être en reste, GE, AT&T, Cisco et IBM ont créé en mars the Internet Industrial Consortium, dans le même but.
je pense que Siemens a un jeu d'avance.
Amicalement
Birdie
PS dans la même tendance, je cherche à acheter Kuka AG, pour ses robots.
@tous,
Il y a qqs mois l'avis de Leleux (Merci Francis) sur Sie était de renforcer dans la zone des 86/90 €, pas le grand enthousiasme mais nous y sommes.
Sie cotait alors à 93,4
Siemens et Gamesa seraient proches d'une fusion dans l'éolien
MUNICH/MADRID (Reuters) - Le géant industriel allemand Siemens et le spécialiste espagnol des énergies renouvelables Gamesa sont parvenus au stade final des négociations d'un accord de fusion de leurs activités dans l'éolien, a-t-on appris mercredi de deux sources proches du dossier.
"Ils sont encore réunis à Madrid en ce moment", a déclaré l'une des sources. "L'accord est imminent. La valeur d'entreprise de la coentreprise est proche de dix milliards d'euros."
Le nouvel ensemble né d'un tel rapprochement ravirait le premier rang mondial du marché des éoliennes au danois Vestas en terme de parts de marché. Il serait présent aussi bien sur des marchés déjà parvenus à maturité, comme l'Amérique du Nord et l'Europe, que sur des marchés émergents en forte croissance, comme l'Inde, le Mexique ou le Brésil.
Siemens est aujourd'hui puissant dans le marché de l'éolien au large des côtes, l'offshore, mais reste relativement faible dans l'éolien terrestre et sa rentabilité sur ce segment est encore fragile.
De son côté, Gamesa est bien implanté dans les pays émergents, notamment en Amérique latine, où il s'est développé après la réduction des aides publiques aux énergies renouvelables en Espagne en 2013. Le groupe espagnol prévoit une croissance à deux chiffres de son chiffre d'affaires jusqu'en 2017, avait déclaré son président à Reuters en novembre.
Un accord Siemens-Gamesa marquerait une nouvelle étape de la consolidation en cours du secteur des équipements de production d'énergie éolienne, qui a connu plusieurs années de surcapacités et de pertes financières mais doit faire face aujourd'hui à une croissance de la demande.
En octobre, le fabricant allemand de turbines Nordex a annoncé le rachat des activités éoliennes de l'espagnol Acciona pour 785 millions de dollars.
Vestas avait donné le coup d'envoi de ce mouvement de concentration fin 2013 en s'associant au japonais Mitsubishi Heavy Industries dans la construction de turbines offshore, une activité gourmande en capitaux.
Gamesa a quant à lui conclu en 2014 une alliance avec le français Areva pour construire des éoliennes offshore, un partenariat qui assure à un éventuel ensemble Siemens-Gamesa un accès au marché français.
(Alexander Hübner à Munich et Jose Elias Rodriguez à Madrid, Marc Angrand pour le service français, édité par Véronique Tison)
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