Re : Transgene
@ TOUS qui s'intéressent à TRANSGENE,.....Belgian-Luc-Doc......
Il va y avoir une AK sur cette action =donc dilution.....
Perso je suis en perte...
Considérez-vous opportun de participer?
Bon dimanche
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@ TOUS qui s'intéressent à TRANSGENE,.....Belgian-Luc-Doc......
Il va y avoir une AK sur cette action =donc dilution.....
Perso je suis en perte...
Considérez-vous opportun de participer?
Bon dimanche
Bonjour Praline,
désolée, je ne suis pas Transgène.
(Je sors petit à petit des biotechs. Trop de déceptions sur résultats, management qui ne tient pas compte des petits porteurs etc...Je veux sécuriser et équilibrer!)
Bon dimanche
V.
V.
@Praline,
Transgene ne fait plus partie de ma liste de surveillance, elle n'a pas répondu aux attentes en 2015.
Pour moi c'est une action à éviter à tout prix, mais ce n'est que mon opinion personnelle.
Luc
La biotech fait de nouveau appel à ses actionnaires et lève près de 50 millions d'euros. Son plan de la dernière chance, présenté en janvier dernier, est inchangé. Le verdict, en plusieurs étapes, est pour l'an prochain.
La biotech strasbourgeoise annonce une nouvelle augmentation de capital afin de lever 48 millions d’euros, dans le cadre d’une opération ouverte aux particuliers. Transgene va émettre 18,5 millions d’actions nouvelles au prix de 2,60 euros. La décote est de 15% par rapport au cours de clôture du 19 octobre (3,08 euros). Le droit préférentiel de souscription (DPS) est maintenu et la parité établie à 12 actions nouvelles pour 25 existantes. La période de souscription court du 27 octobre au 4 novembre inclus.
L’opération est soutenue par l’Institut Mérieux (via sa holding TSGH) qui souscrira «à titre irréductible» à la moitié de la levée de fonds et achètera encore 4,6 millions d’actions nouvelles supplémentaires, si celles-ci ne trouvent pas preneur, de sorte qu’au moins 75% de l’opération soit garantie.
Sept études cliniques
Ce refinancement doit permettre à la société de mener sept études cliniques, actuellement en préparation, et de négocier «sereinement», sur la base des résultats des accords industriels pour ses candidats-médicaments. Surtout, la société se donne un an de financement supplémentaire, repoussant de fin 2017 à fin 2018 la limite de son autonomie.
En janvier 2016, la société dévoilait un plan de financement non–dilutif (20 millions d’euros d’emprunts et 10 millions «d’engagement» de l’Institut Mérieux) lui donnant jusque fin 2017 pour faire aboutir cinq essais cliniques «de la dernière chance». Transgene et son actionnaire majoritaire ont finalement préfèré ne pas attendre les premières données cliniques, attendus courant 2017, pour redonner de l’oxygène à la biotech. Une sécurité qui a un coût : la dilution. Avec des bonnes données cliniques, l’an prochain, Transgene aurait vu son cours revaloriser et pu réaliser une levée de fonds moins douloureuse pour les actionnaires existants.
«Intérêt médical incontestable»
Transgene veut jouer sa carte. Si son candidat-médicament TG4010 n’a pas trouvé de partenaire industriel malgré des résultats cliniques positifs en 2014 dans le cancer du poumon, c’est parce que la technologie de Transgene, les vaccins thérapeutiques, est alors paru un peu dépassée. Cette année-là, il est vrai, les inhibiteurs de points de contrôle immunitaires (IPCI ou anti-pd-1 et anti-pdl-1 pour «programmed death ligand») ont monopolisé l’attention des investisseurs spécialisés et des industriels.
Il s’agit d’une nouvelle génération d’immunothérapies anticancéreuses. Son premier représentant, Opdivo, détenu par BristolMyersSquibb, a été approuvé fin 2014. Trois produits sont aujourd’hui commercialisés : Opdivo, Keytruda (Merck USA) et Tecentriq (Roche). Une vingtaine sont en cours de développement chez AstraZeneca et Merck KGaA (Alemagne), allié à Pfizer, notamment.
«L’intérêt médical de ces thérapies est incontestable, reconnaît le PDG de Transgene Philippe Archinard, mais une fois l’enthousiasme et l’effet de mode passé, l’industrie a réalisé qu’il ne s’agissait pas non plus de «produits miracles», et que certains patients n’y «répondaient pas.»
Il y a selon lui une large place pour les combinaisons entre ces IPCI et les produits de Transgene : «Nos mécanismes d’actions sont complémentaires : il nous faut démontrer à présent un gain d’efficacité et/ou une action sur des patients qui ne répondent pas aux anti-PD-1/pdl-1 seuls. Nous avons été frappé par le tsunami en 2015, notre cours de bourse en témoigne, nous espérons à présent surfer sur la vague», conclut le chercheur qui dirige la biotech depuis 2004.
Beaucoup de résultats cliniques attendus en 2017
L’actualité de Transgene va être chargée d’ici la fin de l’an prochain. En 2017, beaucoup de résultats cliniques sont attendus. Les principaux sont dans le cancer du poumon, avec TG4010, en combinaison avec Opdivo ; dans le cancer tête et cou, avec TG4001 en combinaison avec Avelumab ; et dans plusieurs tumeurs solides avec Pexa-Vec, en combinaison avec Yervoy (BMS). Des données encourageantes (elles ne seront pas définitives à ce stade) suffiront à redonner de l’allant au cours de l’action.
En outre, de nouveaux partenariats pourraient être annoncés à l’image de celui noué officiellement avec Merck KGaA au début du mois, pour le développement de TG4001 et de celui, officieux, qui existe avec BMS, pour TG4010. Les modalités de ces accords n’ont pas été dévoilées.
Ils portent vraisemblablement sur la fourniture gracieuse du médicament à Transgene, la conception des essais cliniques et l’accès à certains réseaux hospitaliers pour le recrutement des patients dans les essais. Mais les termes financiers sont sans doute peu significatifs. Il faudra attendre d’avoir des résultats définitifs, pas avant 2018, pour espérer des accords de licence, et des rentrées d’argent significatives pour Transgene.
Rude concurrence
Le risque d’échec des essais cliniques est élevé à ce stade de développement. Il s’agit en effet de phase intermédiaire (phase I, II/A ou II). De plus, la concurrence est rude. En effet, pas moins de 800 essais cliniques auprès de 166.000 patients sont en cours, évaluant des anti-PD1/anti-pdl-1, dont beaucoup en combinaison.
Les grands industriels de la pharmacie se livrent une guerre sans merci sur ce segment thérapeutiques très prometteur, multipliant les développements et les essais cliniques. Bien des biotechs pourraient en profiter. Mais il faudra à Transgene des résultats d’efficacité thérapeutiques très solides pour se démarquer des projets concurrents.
Enfin, le financement est calibré au plus juste pour fin 2018, avec un rythme de consommation nette de trésorerie de 25 à 30 millions par an. Les dirigeants espèrent que cette opération sera la dernière levée de fonds dilutive menée par la société. Mais ce n’est pas gagné…
Transgene: présentation de résultats précliniques à Boston.
(CercleFinance.com) - Transgene indique avoir présenté un poster sur des résultats précliniques de son vaccin thérapeutique TG1050, au Liver Meeting 2016, la réunion annuelle de l'AASLD (American Association for the Study of Liver Disease) à Boston.
Ce poster présente les résultats d'une méta-analyse de données précliniques de TG1050, obtenues dans un modèle murin d'expression persistante du virus de l'hépatite B ainsi que des données préliminaires sur le mécanisme d'action de TG1050.
Transgene mène actuellement un essai clinique de Phase 1/1b évaluant la sécurité et la tolérance de TG1050 chez des patients atteints d'hépatite B chronique, en cours de traitement antiviral standard.
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