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Les Bourses de Hong Kong et Shanghai ferment en baisse, les déboires de Trump
(18.05.2017 / 12:21:46)

pèsent

Hong Kong (awp/afp) - La Bourse de Hong Kong a fermé en baisse jeudi, dans le sillage d'un mouvement mondial consécutif aux déboires du président américain, Donald Trump, qui pourraient compromettre son programme pour doper l'économie américaine.

L'indice composite Hang Seng a reculé de 0,62%, soit 157,11 points, à 25.136,52 points.

L'indice composite de Shanghai a cédé 0,46% (14,30 points) à 3.090,14 points, dans un volume d'échanges de 168,2 milliards de yuans (21,93 milliards d'euros).

L'indice de Shenzhen a perdu 0,63% (11,69 points) à 1.855,99 points, dans un volume d'échanges de 231,9 milliards de yuans.

Le HSI a chuté pour le 3ème jour consécutif, après avoir progressé les six jours précédents.

Les investisseurs ont surveillé les plus grosses pertes de Wall Street depuis l'élection de Donald Trump suite à un article du New York Times selon lequel le président américain avait demandé en février de mettre un terme à une enquête du FBI concernant son conseiller à la sécurité nationale de l'époque.

Cela a été vu comme une possible tentative d'obstruction à la justice et est venu s'ajouter au limogeage la semaine dernière du directeur du FBI, James Comey, alors que le président américain est par ailleurs accusé de s'être montré trop bavard avec des diplomates russes.

Trump a affirmé que la nomination d'un procureur spécial pour garantir l'indépendance de l'enquête sur une éventuelle collusion entre certains de ses proches et la Russie montrera qu'"il n'y a eu aucune collusion entre (son) équipe de campagne et une entité étrangère".

Mais toutes ces péripéties amènent les investisseurs à douter de la capacité du président américain à mettre en place un programme économique qui avait fait bondir la Bourse de New York après son élection.

Greg McKenna, stratége en chef chez AxiTrader, a déclaré dans une note que "la destitution de Donald Trump était une chimère des démocrates mais une chose très improbable pour la plupart des autres observateurs, jusqu'à il y a quelques jours".

"Comme cela s'éternise, c'est préjudiciable et menace même l'agenda de l'administration - particulièrement sur les impôts et les infrastructures", a-t-il ajouté.

L'incertitude a profité aux valeurs refuges que sont le yen et l'or, pendant que le VIX, surnommé indice de la peur, est remonté en flèche mercredi en progressant de plus de 43%, soit la plus forte hausse depuis novembre.

"Il y a un très haut niveau d'incertitude dans les marchés mais une chose est parfaitement claire, c'est que les investisseurs considèrent maintenant qu'au minimum, la désorganisation croissante de la politique américaine va compromettre l'agenda de la Maison Blanche et, au pire, une destitution de Trump conduira à un effondrement total du marché", a déclaré Stephen Innes, d'OANDA.

HSBC a plongé de 1,89% à 67,40 HKD et le géant de l'assurance Ping An de 1,50% à 46,10 HKD tandis que China Construction Bank a cédé 0,78% à 6,33 HKD.

China Mobile a lâché 0,70% à 85,20 HKD et le géant de l'énergie CNOOC 0,76% à 9,13%.

Cependant, Tencent a progressé de 1,62% à 264,00 HKD après de bons résultats.

En Chine continentale, les valeurs bancaires ont figuré parmi les plus importantes perdantes. Bank of China, cotée à Shanghai, a lâché 0,28% à 3,61 yuans et Jiangsu Jiangyin Rural Commercial Bank, cotée à Shenzhen, a chuté des 10% maximum par jour à 14,23 yuans.

"Le marché a été tiré vers le bas par la chute brutale des marchés mondiaux. Mais sa performance a quand même été meilleure que beaucoup d'autres", a relevé Li Daxiao, chef économiste de Yingda Securities.

"Si la Bourse (de Shanghai) pouvait regagner le niveau clé des 3.100 points, elle reprendrait un mouvement de hausse", a-t-il jugé.

Les courtiers ont aussi perdu à Shanghai: China Galaxy Securities a chuté de 2,87% à 11,52 yuans et CITIC Securities a perdu 0,82% à 15,71 yuans.

dan/cj/ggy

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Hong Kong finit en légère hausse, Shanghai stagne
(19.05.2017 / 11:47:25)

Hong Kong (awp/afp) - La Bourse de Hong Kong a fini vendredi en légère hausse de 0,15%, mettant fin à trois jours de baisse, les investisseurs restant prudents, craignant que les déboires de la présidence américaine de Donald Trump n'entravent ses réformes économiques.

L'indice composite Hang Seng de Hong Kong a pris 0,15%, soit 38,25 points, à 25.174,87 points.

L'indice composite de Shanghai a été quasi stable, grignotant 0,49 point (0,02%) à 3.090,63 points. En revanche, l'indice de Shenzhen a perdu 0,12%, soit 2,28 points, à 1.853,71 points.

Les marchés asiatiques ont reculé cette semaine dans le sillage des Bourses mondiales, après un scandale impliquant Donald Trump qui selon un article du New York Times aurait demandé en février de mettre un terme à une enquête du FBI concernant son conseiller à la sécurité nationale de l'époque.

Cela a été vu comme une possible tentative d'obstruction à la justice et est venu s'ajouter au limogeage la semaine dernière du directeur du FBI, James Comey, alors que le président américain est par ailleurs accusé de s'être montré trop bavard avec des diplomates russes.

Pourtant, les marchés ont été encouragés vendredi par des indicateurs américains meilleurs que prévu, ce qui leur a permis de se reprendre, notamment un repli surprise des inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis, et une hausse de l'indice composite du Conference Board en avril.

Selon Ric Spooner, un stratégiste de CMC Markets, "les marchés ont clairement décidé que la situation politique aux Etats-Unis a le potentiel de faire baisser la valeur des actions qui sont à leur plus haut niveau".

Tencent a pris 1,67% à 268,40 dollars de Hong Kong, China Mobile 0,65% à 85,75 dollars et le géant des assurances AIA 0,27% à 54,70.

L'opérateur de casinos Galaxy Entertainment a gagné 1,01% à 40,00 dollars de Hong Kong et Henderson Land 0,92% à 49,35.

Parmi les perdants, MTR Corp. a plongé de 9,67% à 44,85 dollars de Hong Kong après qu'une coupure de courant a laissé des milliers de passagers bloqués dans un train allant de la ville à la frontière chinoise.

En Chine continentale, les valeurs affichent à l'issue de la semaine leur première progression hebdomadaire en cinq semaines.

"Le marché est toujours en phase de correction. L'enthousiasme des opérateurs s'est dissipé, avec un volume de transactions faible", a indiqué un analyste de Haitong Securities, Zhang Qi said, dans une note.

"Le sentiment du marché reste fragile et il semble difficile d'observer une récupération dans un futur proche", a-t-il ajouté.

Les valeurs de l'énergie ont été en hausse à Shanghai: China Kings Resources Group a bondi de la limite quotidienne de 10% à 16,93 yuans, et Geo-Jade Petroleum Corp a grimpé de 6,35% à 6,87 yuans.

Le secteur de l'électricité a été recherché: Jilin Power, coté à Shenzhen, a progressé de 10%, la limite de hausse quotidienne, à 5,50 yuans, tandis que Datang International Power Generation, coté à Shanghai, a gagné 3,62% à 5,15 yuans.

dan/ceb/nas/ggy

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Hong Kong finit en hausse, Shanghai recule
(22.05.2017 / 11:07:19)

Hong Kong (awp/afp) - La Bourse de Hong Kong a terminé en nette hausse lundi, les valeurs du secteur de l'énergie profitant d'une progression des cours du pétrole, tandis que celle de Shanghai reculait.

L'indice composite Hang Seng de Hong Kong a gagné 216,47 points, soit 0,86%, à 25.391,34 points.

L'indice composite de Shanghai a en revanche reculé de 0,48%, soit 14,96 points, à 3,075.68 points. L'indice de Shenzhen a chuté pour sa part de 1,38%, soit 25,49 points, à 1.828,22 points.

A Hong Kong, les valeurs liées au marché de l'énergie ont profité de la hausse des cours du baril.

"La solide hausse du pétrole et des autres matières premières a aidé à soutenir les cours (des marchés actions) ainsi que le moral" des investisseurs, a expliqué Greg McKenna, chez AxiTrader.

Le ministre saoudien de l'Energie s'est dit confiant dimanche sur la perspective d'une prolongation des quotas de production de pétrole, peu avant la prochaine réunion de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui visent à faire repartir le prix du baril à la hausse.

Khaled al-Faleh s'exprimait en amont d'une rencontre prévue jeudi entre les membres de l'Opep et la Russie, au cours de laquelle devraient être renouvelés les quotas de production appliqués depuis janvier.

CNOOC a pris 0,44% à 9,17 dollars de Hong Kong et PetroChina a gagné 1,14% à 5,32 dollars.

Parmi les autres valeurs, la compagnie aérienne Cathay Pacific a bondi de 2,30% à 11,58 dollars après avoir annoncé lundi la suppression de 600 postes afin de réduire ses coûts.

En Chine continentale, les investisseurs ont en revanche été refroidis par les sanctions annoncées la semaine dernière contre un courtier, dernier épisode en date de la volonté des autorités de resserrer leur contrôle.

"Le moral du marché a été une nouvelle fois assombri par les régulateurs", a ainsi souligné Zhang Qi, analyste chez Haitong Securities.

A Shenzhen, le secteur financier a été pénalisé, à l'image de Sealand Securities (-5,01% à 5,12 yuans) et First Capital Securities (-6,09% à 13,73 yuans).

A Shanghai, le secteur pétrolier a malgré tout tiré son épingle du jeu, avec Sinopec (+1,88% à 5,95 yuans) et PetroChina (+1,18% à 7,69 yuans).

dan/hg/jmi/ggy

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Hong Kong termine sur une modeste hausse
(23.05.2017 / 11:38:33)

Hong Kong (awp/afp) - La Bourse de Hong Kong a terminé mardi en très modeste hausse, freinée dans son élan par la baisse des cours du pétrole et la prudence des investisseurs après l'attentat de Manchester.

L'indice Hang Seng a grignoté 11,81 points, soit 0,05% à 25.403,15 points.

La Bourse de Shanghai a pour sa part terminé en baisse de 0,45%, soit 13,73 points, à 3.061,95 points.

La Bourse de Shenzhen a chuté de 2,12%, soit 38,75 points, à 1.789,47 points.

Les marchés mondiaux avaient dans l'ensemble progressé lundi, profitant notamment de la hausse des cours du pétrole. L'Opep et ses partenaires pourraient en effet renouveler leurs limitations de production de pétrole, au moins jusqu'à la fin 2017, lors de réunions jeudi à Vienne, afin d'écouler des réserves mondiales gonflées par le schiste américain.

Mais les valeurs du secteur pétrolier ont terminé en ordre dispersé mardi à Hong-Kong, après leur progression de la veille, tandis que les cours du baril repartaient à la baisse.

CNOOC a ainsi perdu 0,33% à 9,14 dollars de Hong Kong, tandis que PetroChina gagnait 0,19% à 5,33 dollars.

"Les marchés asiatiques ont réagi avec prudence a un nouvel acte terroriste, à Manchester cette fois-ci", ont par ailleurs observé les analystes d'Accendo Markets.

Un attentat suicide y a fait au moins 22 morts, dont des enfants, et 59 blessés à l'issue d'un concert pop lundi soir, l'attaque la plus meurtrière visant le Royaume-Uni depuis douze ans.

Parmi les autres valeurs, la banque HSBC a abandonné 0,07% à 67,65 dollars de Hong Kong tandis que le fabricant d'ordinateurs Lenovo reculait de 1,21% à 4,90 dollars.

Le groupe de casinos Galaxy Entertainment a pour sa part bondi de 4,01% à 42,80 dollars, porté par des attentes optimistes sur un rebond des revenus des jeux à Macao en mai.

En Chine continentale, les marchés ont une nouvelle fois reculé, les investisseurs s'inquiétant toujours d'un resserrement du contrôle des autorités sur le système financier.

"La tendance baissière ne va pas changer tant qu'il n'y aura pas un nouveau signal de la part des régulateurs. Mais le marché (de Shanghai) aura du soutien autour de la barre des 3.000 points", a commenté auprès de l'AFP Zhang Yanbing, analyste chez Zheshang Securities.

La Bourse de Shanghai a enregistré une progression de près de 5% en début d'année avant d'abandonner l'ensemble de ses gains à la suite d'une mouvement de baisse qui a commencé début avril.

Les valeurs du secteur des transports ont particulièrement souffert mardi à Shanghai à l'image de Hainan Haiqi Transportation Group (-5,86% à 12,53 yuans) et Shanghai Qiangsheng Holding (-3,87% à 7,70 yuans).

A Shenzhen, ce sont les actions du secteur parapétrolier qui ont été malmenées, avec Xinjiang Beiken Energy Engineering, qui a atteint la baisse limite quotidienne maximale de 10% à 27,63 yuans, tandis que Tong Oil Tools chutait de 7,59% à 7,18 yuans.

dan/sm/jmi/mml

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Chine: Moody's inflige au pays le 1er abaissement de sa note en 28 ans
(24.05.2017 / 08:17:19)

Pékin (awp/afp) - Moody's a infligé mercredi à la Chine le premier abaissement de sa note depuis 28 ans, l'agence de notation financière s'inquiétant des risques d'augmentation de la dette de la deuxième économie mondiale.

En réduisant sa note de "Aa3" à "A1" avec une perspective stable, l'agence a estimé que "la solidité financière de la Chine va quelque peu s'éroder au cours des années qui viennent, le volume total de la dette continuant à grossir tandis que le potentiel de croissance ralentit".

Le ministère chinois des Finances a rejeté l'évaluation de Moody's, accusant l'agence d'avoir surestimé les difficultés du pays.

La croissance économique du géant asiatique est tombée en 2016 à 6,7%, soit son plus mauvais score depuis un quart de siècle. Du fait du vieillissement de la population et du ralentissement des investissements et de la productivité, Moody's dit désormais s'attendre à la voir plonger aux alentours de 5% par an sur les cinq années à venir, un chiffre très inférieur aux prévisions officielles qui tablent sur plus de 6,5% en moyenne durant le 13e plan quinquennal (2016-2020).

Après des décennies de croissance à deux chiffres, le régime communiste s'efforce désormais de soutenir l'économie en investissant massivement dans les infrastructures et en maintenant des taux d'intérêt très bas, mais cette politique a créé une bulle financière, notamment dans l'immobilier, qui inquiète le Fonds monétaire international (FMI).

Le FMI a ainsi reproché le mois dernier à Pékin de privilégier la croissance à court terme au détriment de l'assainissement de son système financier.

Les réformes prévues par le régime communiste pour combattre les risques financiers pourront "ralentir mais pas empêcher une augmentation de la dette" du pays, a observé Moody's dans un communiqué.

Moody's s'inquiète particulièrement de la dette des entreprises d'Etat, souvent déficitaires, et qui siphonnent une grande partie des crédits bancaires, au détriment du secteur privé. Si Pékin affiche sa volonté de réformer le secteur public, "nous pensons que ces efforts de réforme n'auront pas suffisamment d'impact, ni (n'interviendront) suffisamment vite, pour éviter une érosion" du profil financier chinois, selon l'agence de notation.

- 'COUP PSYCHOLOGIQUE' -

Moody's n'avait plus réduit depuis 1989 la note de la dette chinoise, qui n'avait fait que monter depuis à mesure de l'émergence économique du pays. La nouvelle a initialement pénalisé les marchés boursiers et le yuan, mais les places de Shanghai et de Shenzhen comme la devise nationale avaient pratiquement effacé leurs pertes à la mi-journée.

"Psychologiquement, c'est un coup que la Chine va mal prendre et qui reflète la montée de la pression financière", a observé Christopher Balding, professeur à l'Ecole de commerce HSBC à Shenzhen. En même temps, "ça n'a pas énormément d'importance parce que l'essentiel de la dette chinoise est détenu par des acteurs étatiques ou quasi-étatiques et très peu par des étrangers", a-t-il déclaré à l'agence Bloomberg.

La dette totale de la Chine représentait 256% du PIB à la fin de l'an dernier. Mais la dette extérieure n'en représente qu'environ 12%. La seule dette publique devrait quant à elle atteindre 45% du PIB d'ici à la fin de la décennie, prévoit Moody's.

"Cet abaissement va certainement pénaliser la Chine. Il va être plus difficile pour la Chine de financer sa dette. Les entreprises chinoises vont avoir plus de mal à lever des fonds sur les marchés internationaux", a prédit Liao Qun, économiste à la Citic Bank International à Hong Kong. "Cela fait l'effet d'une douche froide au moment où tout le monde est optimiste envers l'économie de la Chine", a-t-il déclaré à l'AFP.

Selon lui, les risques qui pesaient fin 2016 sur l'économie chinoise, particulièrement la menace d'une guerre commerciale avec l'Amérique de Donald Trump, ont reculé.

"Cet abaissement n'a aucun sens", tranche l'économiste, au vu des meilleures performances de l'économie chinoise depuis le début de l'année.

afp/lk

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Hong Kong monte, Shanghai recule après un indice manufacturier
(01.06.2017 / 11:18:17)

Hong Kong (awp/afp) - La Bourse de Hong Kong a terminé en hausse jeudi, à l'unisson de la plupart des autres places asiatiques, les marchés de Chine continentale reculant toutefois à la suite d'un mauvais indicateur manufacturier chinois.

L'indice Hang Seng a gagné 148,57 points, soit 0,58%, à 25.809,22 points.

Hong Kong a profité du dynamisme de la Bourse de Tokyo, qui a fini en nette hausse jeudi, après quatre séances négatives, dopée par une augmentation des dépenses d'investissement des entreprises au Japon au 1er trimestre.

Cet indicateur a été vu comme la preuve d'une réelle embellie de l'économie nippone.

Parmi les valeurs, le groupe de technologie Tencent a pris 1,35% à 271,20 dollars de Hong Kong, China Mobile 0,58% à 86,95 HKD, le géant bancaire HSBC 0,30% à 67,90 HKD et Ping An Insurance 1,00% à 50,45 HKD.

PetroChina a en revanche reculé de 0,39% à 5,17 dollars de Hong Kong, affecté par une chute des cours du pétrole la veille.

En Chine continentale, l'indice composite de Shanghai a perdu 14,56 points, soit 0,47%, à 3,102.62 points.

L'indice de Shenzhen a pour sa part cédé 34,69 points, soit 1,92%, à 1.773,61 points.

L'activité manufacturière en Chine s'est contractée en mai, une première en 11 mois, selon un indice indépendant diffusé jeudi par le groupe de médias Caixin, signe de la fragilité de la conjoncture dans la deuxième économie mondiale.

L'indice des directeurs d'achat (PMI) calculé par le cabinet IHS Market et publié par Caixin s'est établi à 49,6 en mai, contre 50,3 en avril.

"Le PMI suggère que l'économie ne s'est pas tout à fait stabilisée", a commenté Zhang Yanbing, analyste chez Zheshang Securities.

Le marché chinois reste sous pression depuis début avril à la suite de mesures du gouvernement chinois pour limiter l'endettement endémique de l'économie chinoise, qui ont pesé sur les liquidités et incité les investisseurs à la prudence.

Le yuan a par ailleurs grimpé à son plus haut niveau en sept mois jeudi, à un taux de 6,78 yuans pour 1 dollar, un mouvement interprété comme lié à la volonté de Pékin de renforcer la monnaie chinoise après l'annonce de la dégradation de la note du pays par l'agence Moody's la semaine dernière.

Parmi les valeurs, le secteur technologique a été particulièrement affecté par des prises de bénéfices. Inspur Software a chuté de 4,20% à 20,08 yuans à Shanghai, et Beijing Supermap Software de 5,53% à 14,87 yuans à Shenzhen.

Les géants du secteur pétrolier ont en revanche progressé, à l'image de PetroChina (+0,38% à 7,85 yuans) et Sinopec (+0,96% à 6,33 yuans).

dan/jmi/ggy

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Re : Chine

Hong Kong termine en hausse dans le sillage de Wall Street
(02.06.2017 / 11:20:03)

Hong Kong (awp/afp) - La Bourse de Hong Kong a terminé en hausse vendredi, dans le sillage des marchés américains, portés par un indicateur encourageant sur l'emploi privé aux Etats-Unis.

L'indice Hang Seng a gagné 114,83 points, soit 0,44%, à 25.924,05 points.

L'indice composite de Shanghai a grappillé 2,92 points, soit 0,09%, à 3,105,54 points.

L'indice de Shenzhen a pour sa part pris 14,99 points, soit 0,85%, à 1.788,60 points.

Les créations d'emplois dans le secteur privé aux Etats-Unis ont fortement progressé en mai, dépassant largement les attentes des analystes, a indiqué la société de services informatiques ADP.

"C'est un nouveau signe du fait que le marché de l'emploi est le point fort de l'économie américaine", a souligné Greg McKenna chez AxiTrader.

L'annonce d'un retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat par le président américain Donald Trump n'a en revanche pas eu d'effet majeur sur les indices dans leur ensemble.

Parmi les valeurs, le secteur financier a nettement tiré son épingle du jeu, avec HSBC (+0,74% à 68,40 dollars de Hong Kong), Ping An Insurance (+0,50% à 50,70 dollars) mais surtout Hong Kong Exchange and Clearing (+4,17% à 205,00 dollars) et Industrial and Commercial Bank of China (+1,89% à 5,40 dollars).

Le secteur technologique a en revanche été mal orienté, à l'image de Tencent (-0,44% à 270,00 dollars) et China Mobile (-1,67% à 85,50 dollars).

En Chine continentale, les marchés ont été portés par les achats à bon compte de valeurs petites et moyennes, après leurs récentes baisses causées par un tour de vis réglementaire de la part des autorités et avant une série de publications économiques la semaine prochaine.

"Les actions de petites entreprises cotées à Shenzhen ont rebondi à la suite de leur lourdes pertes le mois dernier", a ainsi commenté Zhang Yanbing, analyste chez Zheshang Securities.

Le secteur des énergies renouvelables a terminé en ordre dispersé à la suite du retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat.

A Shenzhen, le fabricant d'éoliennes Xinjiang Goldwind Science & Technology a perdu 0,20% à 14,94 yuans tandis que Nanjing Huadong Electronics Information & Technology, qui fabrique notamment des panneaux solaires, prenait 1,10% à 2,76 yuans.

Les groupes pétroliers ont pour leur part terminé en baisse à Shanghai alors que les cours du brut reculaient, les investisseurs redoutant une hausse de la production américaine après l'annonce de Donald Trump.

PetroChina a perdu 1,02% à 7,77 yuans tandis que Sinopec abandonnait 1,11% à 6,26 yuans.

dan/jmi/ggy

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Re : Chine

Les Bourses de Hong Kong et Shanghai finissent en baisse, Shenzhen dans le vert
(05.06.2017 / 12:08:15)

Hong Kong (awp/afp) - La Bourse de Hong Kong a terminé en repli lundi affectée par le rapport sur l'emploi américain moins bon qu'attendu et par l'attentat de Londres ce week-end qui a suscité les vives inquiétudes des courtiers.

L'indice Hang Seng a cédé 0,24% ou 61,06 points à 25.862,99 points.

L'indice composite de Shanghai a perdu 0,45% ou 13,88 points à 3.091,66 points, dans un volume d'affaires de 143,4 milliards de yuans (18,6 milliards d'euros).

En revanche, l'indice de Shenzhen a gagné 0,69% ou 12,33 points à 1.800,93 points, dans un volume d'affaires de 178,5 milliards de yuans (23,2 milliards d'euros).

Le moral des investisseurs a été atteint après la publication de chiffres décevants sur l'emploi américain avec moins de créations d'emplois qu'attendu au mois de mai. En outre, le ministère du Travail a drastiquement revu à la baisse les créations d'emplois de mars et d'avril (-66.000).

Selon Rodrigo Catril, stratégiste des monnaies à la National Australia Bank, les "chiffres sur l'emploi étaient suffisamment solides pour que la Réserve fédérale procède à une hausse des taux en juin, mais pas suffisamment" pour prédire la politique monétaire qu'adoptera la Fed par la suite.

Alors que les membres de la Fed demeurent très discrets sur la décision qu'ils vont prendre la semaine prochaine, les investisseurs auront pas mal de choses à se mettre sous la dent en matière de politique monétaire dans les jours à venir.

Par ailleurs, la Grande-Bretagne se rendra aux urnes jeudi, encore sous le choc de l'attentat de samedi au centre de Londres qui a fait 7 morts et 48 blessés, la troisième attaque dans le pays en trois mois. Les sondages ont montré ces derniers jours que l'avance des Conservateurs au pouvoir sur les Travaillistes diminuait, ce qui aliment les incertitudes.

"Les élections semblaient être favorables à la Première ministre mais les sondages" ont drastiquement resserré la marge entre les deux partis en lice, a indiqué dans un communiqué la NAB. "L'escalade du terrorisme ajoute aux inquiétudes", a souligné la banque.

Industrial and Commercial Bank of China a reculé de 1,11% à 5,34 dollars de Hong Kong, HSBC a cédé 0,22% à 68,25 dollars de Hong Kong et le casinotier Sands China s'est replié de 34,70 dollars de Hong Kong.

Ping An Insurance a perdu 0,99% à 50,20 dollars de Hong Kong tandis que Tencent a gagné 0,59% à 271,60 dollars de Hong Kong et que CNOOC a pris 0,56% à 8,98 dollars de Hong Kong.

A Shanghai, les actions bancaires ont perdu du terrain alors qu'une réduction du nombre de nouvelles introductions en Bourse a été décidée par les autorités. Les courtiers sont souvent effrayés par les nouvelles introductions qui épongent les liquidités nécessaires.

La China Securities Regulatory Commission (CSRC) n'a approuvé vendredi que quatre introductions en Bourse, contre sept la semaine précédente.

"La confiance des marchés n'est pas pas au rendez-vous et les investisseurs hésitent à acheter", a indiqué Zhu Chapping, économiste chez UCB Kay Hian.

China Construction Bank Corp a plongé de 3,15% à 6,15 yuans et Agricultural Bank of China a chuté de 3,08% à 3,46 yuans.

Shandong Gold Mining a de son côté grimpé de 5,82% à 29,46 yuans et Hunan Gold Corp a gagné 2,82% à 9,13 yuans.

dan/sm/mml/spi

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Re : Chine

La Chine de 2017, comme un air de ressemblance avec le Japon de la bulle
(16.08.2017 / 08:15:00)

(éclairage)

Tokyo (awp/afp) - La Chine, où l'activité s'essouffle et la dérive financière inquiète, est-elle promise au même destin que le Japon, victime d'une bulle dans la fin des années 1980 après une folle expansion?

Le débat agite le microcosme économique et le plus haut sommet de l'Etat. Le président chinois Xi Jinping a ainsi commandé une étude pour voir comment éviter un scénario à la nippone, rapportait début août l'agence Bloomberg.

Car les deux géants asiatiques présentent des symptômes similaires, à 35 ans d'intervalle.

- Des symptômes similaires -

Le Japon pouvait à l'époque se targuer d'une croissance impressionnante qui l'a fait entrer dans le club des grandes puissances économiques, avec un rythme annuel de 9% de 1955 à 1973 qui a ensuite ralenti tout en restant soutenu.

Même tendance en Chine qui connaît une solide expansion "depuis plus de trois décennies, sans une seule récession", rappelle Ivan Tselichtchev, professeur d'économie à l'Université de gestion de Niigata (nord-ouest du Japon).

Autre point commun, une vertigineuse dette: dans les deux cas, elle a explosé sous l'effet des politiques monétaire et budgétaire accommodantes menées par les autorités pour stimuler l'activité.

Au Japon, elle s'élève à plus de 200% du Produit intérieur brut (PIB). En Chine, le montant total avoisine les 260%, comparé aux 140% d'avant la crise financière de 2008. Le Fonds monétaire international s'est alarmé mardi d'une "trajectoire dangereuse", quelques mois après une sanction de l'agence Moody's qui a abaissé la note de Pékin pour la première fois en 28 ans.

Enfin, des excès tous azimuts ont émaillé l'ascension des deux puissances.

Dans l'archipel, les accords du Plaza en 1985, visant à faire baisser la valeur du dollar, ont marqué un tournant. Pour contenir "l'endaka" (yen fort), Tokyo a conduit une politique de faibles taux d'intérêt qui a engendré des liquidités excessives dans le circuit. Jusqu'au tour de vis fatal qui a sonné le glas des festivités.

Les prix fonciers urbains ont quadruplé entre 1985 et 1990, tandis que l'indice boursier Nikkei s'envolait pour atteindre un niveau record de près de 40.000 points, le double d'aujourd'hui.

Les acquisitions étaient alors audacieuses (Sony s'emparant par exemple de Columbia Pictures pour 3,4 milliards de dollars en 1989), les touristes japonais partout, les spéculateurs prêts à payer des sommes astronomiques (près de 10.000 toiles de maître ont été acquises à l'époque).

La Chine compte elle aussi ses voyageurs qui dépensent sans compter, sa fièvre immobilière et ses fortunés collectionneurs, tel Liu Yiqian qui s'est offert en 2015 le "Nu couché" de Modigliani pour plus de 170 millions de dollars. Et les entreprises sont prises d'une frénésie acheteuse: les investissements chinois à l'étranger ont atteint 170 milliards de dollars en 2016, soit une flambée de 44% sur un an, du football au cinéma, des technologies high-tech au tourisme.

- C'est grave docteur ? -

Au-delà des symptômes, les économistes divergent sur la gravité du mal.

"Ce qui est effrayant, c'est que les gens en Chine se disent: +la Chine est un cas spécial, donc tout va bien+. C'est exactement ce que pensaient les gens au Japon à l'ère de la bulle", avertit Kokichiro Mio, de l'institut de recherche NLI.

Pour certains analystes, si la Chine évite, comme le Japon, de conduire des réformes douloureuses, elle est vouée à un sort identique: une longue stagnation économique sur fond de vieillissement démographique.

Mais d'autres pointent de réelles différences entre les deux pays, à commencer par le contrôle exercé par l'Etat chinois sur l'économie. "Comparé au Japon, les autorités ont plus de pouvoir pour réguler les prêts bancaires et donc limiter le financement des transactions de nature spéculative, tout comme pour intervenir sur les marchés", estime M. Tselichtchev.

Elles ont "conscience" qu'une éventuelle explosion de la bulle "menacerait la stabilité sociale et politique" et "luttent avec opiniâtreté" contre ce risque, "peut-être plus qu'aucun autre pays".

De fait, Pékin a depuis l'an dernier pris des mesures pour freiner drastiquement les investissements internationaux (qui se sont en conséquence effondrés de 46% au premier semestre 2017), contrer l'emballement immobilier (ce qui s'est traduit aussitôt par un ralentissement du marché) et restreindre le crédit.

La Chine, avec sa population de 1,3 milliard d'habitants (dix fois plus que le Japon), "peut s'appuyer sur de nombreuses forces et dispose d'une importante marge de croissance", complète He Chao, professeur assistant à l'université d'économie de Shanghai.

Pendant ce temps, le Japon se débat toujours avec sa déflation et ses "décennies perdues", dans l'ombre de son voisin qui l'a détrôné en 2010 du second rang mondial.

afp/rp

"Aussi vite que possible mais aussi lentement que nécessaire"

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Re : Chine

La Chine et la Nouvelle Route de la Soie (a.k.a. « One Belt, One Road »)

Le vaste chantier en infrastructures appelé en anglais OBOR (Initiative « Route et Ceinture ») annonce de profonds bouleversements à venir pour la Chine ainsi que pour la communauté mondiale.

En mai 2017, le président chinois Xi Jinping a accueilli 28 chefs d'Etat pour présenter l’initiative OBOR pour la construction de la Nouvelle Route de la Soie, sans doute le projet d'infrastructure transcontinentale le plus ambitieux que le monde n’ait jamais connu (projet de développement titanesque en comparaison avec les anciennes Routes de la Soie, réseau de routes commerciales maritimes et terrestres reliant l'Asie et l'Europe).

L’ambition est sans commune mesure puisqu’on touche près de 60% de la population mondiale et un tiers du PIB mondial.  L'engagement financier de la Chine est estimé à 150 milliards de dollars par an à travers les 65 pays.

Il s’agit aussi d’un autre pas en avant pour la Chine dans la consolidation de son statut de puissance économique majeure (aspirations visant à renforcer l’investissement, l’influence et les liens commerciaux avec le reste du monde).  Même si les États-Unis et l'Europe vont rester logiquement les centres traditionnels, l'influence et le pouvoir chinois vont croissant et la Nouvelle Route de la Soie ne fera qu’accélérer cette montée en puissance.

Le renforcement du renminbi chinois (RMB) comme monnaie de réserve mondiale est un facteur clé de ce processus.  Sur ce point, la Chine a déjà fait d’importants progrès : en octobre 2016, le FMI a officiellement rajouté le renminbi au panier de devises qui composent les droits de tirage spéciaux (DTS), étape significative marquant l'intégration de la Chine au système financier mondial (permettant aussi une réduction au niveau des coûts de financement).  Au fur et à mesure que la Nouvelle Route de la Soie prendra forme, l’internationalisation de la devise chinoise prendra aussi de l’ampleur.

OBOR représente une grande avancée dans l’ascension financière et monétaire de la Chine et renvoie vers l’émergence d’un monde vraiment tripolaire.


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Il faudra bien un jour arrêter de confondre ce qui se vend et ce qui est bien.    Bob Dylan
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161

Re : Chine

@MarG, tous
Comment mieux investir en Chine, ok on a Baba, tencent, Naspers, the usual culprits, on a aussi les trackers et les fonds (qui parmi nous investit encore dans des fonds?)
Zone Bourse met à disposition des clients fr une offre 'spéciale' Asie, pas moyen d'en savoir plus tant qu'on n'est pas client, avec l'inconvénient classique, cad que la fiscalité est à calculer et à déclarer par le client belge.

Des pistes, des idées?

Amicalement

Birdie

162

Re : Chine

Naspers serait quand même davantage africain que chinois (malgré sa grosse participation dans Tencent).

parmi les 4 dragons numériques chinois, il y a aussi Baidu et Xiaomi (que je ne suis pas du tout) ... d'ailleurs j'ai lu récemment que si c'est pour investir en techno il vaut mieux les BATX que les GAFA.

Mais la Chine n'est pas que l'IT ... c'est l'usine (manufacture) du monde, et la consommation nationale qui va avec.  Je ne connais pas assez pour disserter davantage sur le sujet, par contre pas question de prendre un fonds surtout si çà n'est pas un truc hyper spécialisé) ... si c'est pour jouer la tendance générale, reste les trackers

En Asie, il y a peut-être aussi (je laisse çà aux pros) d'autres nations "jouable" en tracker qui valent parait-il la peine : Indonésie, Philippines, Corée, Malaisie, Vietnam (perso, je pense qu'il y a davantage de levier - mais du risque aussi)

Dernière modification par MarcG (20-01-2018 19:09:33)


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Re : Chine

@MarcG,
Certes Naspers est plus sud-africain que chinois, mais illustre l'expansion de la Chine?

Vietnam et Indonésie, sûrement, mais les perfs de tracés sont lissées.

Amicalement

Birdie

164

Re : Chine

en pièce jointe, évolution des indices sur 3 ans : Vietnam - Indonésie - Corée - Philippines - Malaisie - Inde

c'est le Vietnam qui a le mieux performé ... bien mieux que Hong Kong ... qui, lui-même, a fait bien mieux la Chine (mais le Shanghai Composite index était à 5000 mi-2015 et il est actuellement sous les 3500 : potentiel de rattrapage ?)

Sinon en Corée, il y a Samsung dont on ne parle pas souvent et qui a connu une chute ces derniers mois (opportunité ?)


Après, pour ce qui concerne les "bonnes" actions individuelles (=ce qui m'intéresse aussi), il faut pouvoir les trouver, les screener, les comprendre et les suivre ... une source d'inspiration se trouve certainement dans les fonds "orienté Chine" : parmi ceux qui ont le mieux performés (sur 1 et 3 ans), quelles sont les valeurs individuelles qui reviennent le plus souvent dans les +hauts pourcentages de participation.  Si j'ai un peu de temps, ...

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Dernière modification par MarcG (21-01-2018 11:29:12)

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Re : Chine

@MarcG,

merci, le manque de temps je comprends.