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Sujet : Réflexions sur les analystes

Copie d'une intervention faite dans le sujet "Galapagos" mais qui s'applique à tous les marchés :

Docanski a écrit:

Salut les boursomaniaques !

Le problème est, une fois de plus, l'incapacité des ânes à listes, UBS y compris, d'analyser une entreprise et ses perspectives de manière claire, nette et surtout exacte pour un terme acceptable. Ils jouent tous, plus ou moins, aux apprentis-sorciers ... quand ce n'est pas pour des raisons parfois inavouables, l'expérience le montre de temps à autre.
On ne le répètera jamais assez : ne faites pas confiance aux analystes ! : ils se trompent 2 fois sur 3 !. Au moins !
En effet, les statistiques montrent que ce fut pire encore en 2014.
Le problème est qu'il y a beaucoup de pigeons sur les marchés, qui croient en leurs prédictions et qui suivent la meute à chaque nouvel avis. Et si le mouvement s'amplifie, c'est en raison des "stop" suiveurs déclenchés automatiquement par les machines pré-programmées à cet effet.
Il vaut mieux interroger une grenouille qu'un âne à listes ... ou jouer à pile ou face si on n'est pas capable de juger une entreprise en fonction de ses fondamentaux, de l'évolution des marchés sur ces mêmes fondamentaux et, bien obligé, sur base d'une analyse technique. Cette dernière donne bien souvent des signaux valables car l'expérience apprend que l'histoire se répète toujours ... ou presque. Et ces analyses techniques sont basées sur les variations passées et tendent à les reproduire sous forme de graphiques mis en valeur par des perspectives.
Mais tant qu'il y aura des veaux pour suivre le troupeau ...

Notre expérience commune, partagée et développée ici sur Boursomania, permet d'obtenir de bien meilleurs résultats qui si nous suivions benoîtement l'avis de ces ânes à listes. Comme quoi rien ne vaut une réflexion collective et un travail partagé.

Cordialement,
Docanski

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Re : Réflexions sur les analystes

De l'influence parfois pernicieuse de certains médias ...

Le 17 octobre, l'Echo de la Bourse en ligne se fendait d'un titre raccoleur "Nyrstar dans les cordes".
Relayant ainsi l'avis d'une banque suspecte quant à ses "conseils", en l'occurrence ABN Amro qui commercialise le plus souvent parallèlement un produit allant dans le sens de son "conseil", ce journal n'en est pas à son premier titre du genre. Notamment au sujet de Nyrstar.
Le lendemain, il remettait cela en évoquant un nouvel avis, cette fois de RBC, qu'il résumait à "sector outperform". L'action poursuivait ainsi sa chute. Pourquoi cette chute ? plus que probablement en raison de la répétition et de l'aspect tonitruant de tels titres qui attirent l'attention du lecteur de passage ... mais sans lui permettre de lire plus loin s'il n'est pas abonné. Or, cette fois, ce "sector outperform" cachait un chiffre que ne précisait pas l'Echo de la Bourse ... sauf, encore une fois, pour les abonnés. Ces derniers (un pourcentage bien peu important de l'ensemble des investisseurs suivant le Bel20) pouvaient le lire : objectif à 8,50 € soit plus de 30 % au dessus du cours du jour !
Cette façon d'attirer l'attention du lecteur de passage aboutit à un résultat : les actionnaires peureux vendent en masse et les algorithmes font le reste. La panique aidant, la perte se creuse encore ... L'action a ainsi perdu près de 20 % en quelques jours ! Et tout cela à cause d'un âne à listes dont la qualité des avis peut être mise en cause mais aussi à cause d'un journal appuyant sur la pédale en faisant les gros titres sur une société qui n'a pas besoin de cela pour vivre sa vie.
En clair, il est utile de savoir qu'à ce jour 12 analystes suivent le titre. 3 sont "acheteurs", 5 sont "neutres" et 3 sont "vendeurs". L'objectif qu'ils accordent à Nyrstar va de 5,50 € à 11,50 €. Un objectif qui va donc du simple au double !
Etrange, n'est-ce-pas, une telle disparité d'avis ! Et pourtant, tous ces analystes ont fait les mêmes études (?), doivent répondre aux mêmes critères de rigueur pour exercer leur métier, doivent savoir étudier objectivement les chiffres d'une société et le secteur d'activité dans lequel elle évolue. Et pourtant on en arrive à des résultats diamétralement opposés !
Chose curieuse, l'Echo de la Bourse" ne fait pas un gros titre raccoleur des chiffres que je reproduis ci-dessus ... Pourquoi ? Car cette information est pourtant aussi digne d'intérêt, sinon plus, qu'une tirade en grandes lettres relayant l'avis d'un seul âne à listes, non !?
Il est aussi étonnant que ce journal ne semble pas se souvenir du danger qui consiste à relayer de telles analyses alors qu'il a lui-même publié, il y a quelques années, un article statistique à propos des "conseils" donnés par les analystes et concluant lui-aussi que 2 avis sur 3 se révèlent trompeurs. Comme quoi les médias comme les analystes doivent faire l'objet d'une attention rigoureuse mais surtout critique de la part de leurs lecteurs.
La nature humaine est étrange et les boursicoteurs en sont le reflet, la panique étant souvent à l'origine de leurs décisions, panique provoquée par des éléments extérieurs et non par leur propre réflexion.
La nature humaine est en effet étrange : les veaux suivent les ânes ...
La nature animale, elle, suit son instinct. Et se trompe beaucoup moins souvent que l'homme qui se targue d'intelligence.
De là à préférer "lire" une grenouille plutôt qu'un âne à listes ... roll

Cordialement,
Docanski

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Re : Réflexions sur les analystes

Aux Etats-Unis, prédire l'avenir économique en épluchant la presse
(25.02.2017 / 09:58:48)

Washington (awp/afp) - En quête constante de données reflétant l'état de l'économie, des experts aux Etats-Unis se tournent vers une source jusque-là peu utilisée par l'industrie statistique: les articles de presse.

A l'ère de l'explosion du "big data", plusieurs projets en cours proposent d'éplucher des publications journalistiques sur plusieurs décennies, pour repérer des mots-clés exprimant pessimisme, inquiétude ou optimisme, afin de mieux mesurer le moral des ménages et des milieux d'affaires.

Le but est de combler les lacunes des indicateurs existants, fondés sur des questionnaires coûteux et à la fiabilité variable.

L'initiative la plus avancée est développée par la très officielle antenne de San Francisco de la banque centrale américaine (Fed). Utilisant des techniques d'apprentissage par les machines, cette branche de la Fed a compilé des articles de 16 grands journaux américains, publiés au cours des 30 dernières années, pour concocter un indicateur prometteur.

"Il y a des signes que la mesure de la confiance des consommateurs basée sur des articles possède un important potentiel de prévision", assurent les créateurs de ce nouvel instrument, Adam Shapiro, Daniel Wilson et Moritz Sudhof, dans un récent article.

Selon leurs travaux, leur indicateur a permis de prévoir un an à l'avance l'évolution de données économiques majeures, comme la consommation des ménages, le taux de chômage, l'inflation ou l'indice vedette de la Bourse de New York.

Leur système repose sur la recherche de mots tels que "inquiets", "préoccupés", "satisfaits" ou "confiants" et la mesure de la fréquence à laquelle ils sont employés d'un mois à l'autre.

"Nous avons été nous-mêmes surpris par notre succès", affirme à l'AFP M. Shapiro. "En développant le projet, nous ne savions pas comment ça allait marcher et nous avons été agréablement surpris de se rendre compte qu'il y avait un vrai potentiel de prédiction".

Une autre étude, publiée en février 2016, parvenait à des conclusions similaires: l'analyse d'articles de presse aux Etats-Unis et dans plusieurs autres pays aiderait à améliorer la fiabilité des estimations des analystes, spécialement pendant les moments de déprime économique.

- "Tendance forte" -

Cette nouvelle approche intègre des "informations qui ne sont pas prises en compte par les prévisionnistes professionnels", écrit l'auteur de cette étude, Samuel Fraiberger, qui est rattaché à l'Université de Harvard, de Northeastern et de New York.

Selon ses conclusions, la collecte de données d'article de presse a ainsi permis de réduire en moyenne de près de 20% les erreurs de prévisions de croissance économique comparées au consensus établi par les analystes.

L'impact est notamment plus fort pendant les périodes de crise au cours desquelles les analystes auraient tendance à "minorer l'impact des mauvaises nouvelles" --un biais dont les journalistes ne seraient pas victimes, indiquait M. Fraiberger.

L'antenne de la Fed de St Louis s'est engagée sur la même voie et travaille à un indicateur du marché du travail basé sur la présence dans la presse de mots tels que "licenciements" ou "embauches".

L'utilisation d'outil statistiques non-traditionnels comme des articles de journaux est "une tendance forte", résume Kevin Kliesen, économiste à la Fed de St Louis. "C'est une autre manière de voir les choses", ajoute-t-il.

La phase d'application concrète promet toutefois d'être ardue, au vu notamment de la masse d'informations en circulation et de la possible prise en compte des réseaux sociaux.

A la Fed de San Francisco, les équipes cherchent avant tout à intégrer leur nouvel indicateur dans la palette d'outils statistiques utilisée par la banque, tout en songeant à la prochaine étape: le faire évoluer en temps réel.

afp/rp

"Aussi vite que possible mais aussi lentement que nécessaire"

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Re : Réflexions sur les analystes

"Méfiez-vous des prévisionnistes ! Ils se trompent 9 fois sur 10...
Les huit prévisions pour 2018", "L'improbable éclatement de la bulle obligataire", "La décélération américaine ne débutera qu'en 2019", etc. Un économiste sérieux ne devrait jamais se lancer dans des prédictions générales."

Le problème est que les ânes à listes se prennent vraiment au sérieux ... ou tentent de manipuler les marchés.

Suite de cet article :
http://trends.levif.be/economie/politiq … 5230216013

Cordialement,
Docanski

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Re : Réflexions sur les analystes

Salut tout le monde,
c'est un vaste sujet, parce que pour moi, il y a les analystes et  les journalistes et les conseillers (ex C. Boitte, ou autres gestionnaires de fonds, banquiers ,etc ...) et ...
Donc, il faut se faire sa propres philosophie en piochant les infos à gauche et à droite, et perso aussi en regardant le passé (graphes à 2, 5, 10 ans) voir pourquoi et comment le titre a évolué, etc...

ET SURTOUT ne pas pleurer sur ses erreurs mais essayer de comprendre pourquoi et comment on les a faites pour s'en inspirer.
Le futur, personne ne peut le prédire, vu tous les événements influençants.

J'ai perso 2 beaux exemples. THR dont j'ai parlé souvent, mais à l'inverse Faurecia que j'avais achetée à 19,81 eur et vendue avec courte marge en 08/2013, juste après qu'elle se soit détachée de PSA. Là je n'ai pas assez cru à ce qu'on en disait, mais çà fait mal aux yeux de la voir ces jours-ci à près de 70 eurs.

D'autre part j'ai du mal à imaginer que les cours ne soient influencés que par les ânes à listes. Le marché et autres traders jouent un rôle aussi.

Bref, on pourrait écrire chacun des bouquins sur la question.

Have a nice SUNday.

Dernière modification par demat (14-01-2018 11:52:35)

Bien le bonjour tout le monde smile ,
amicalement wink ,
demat

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Re : Réflexions sur les analystes

Bonjour à tous,

Les holdings belges préférés de Kepler Cheuvreux

https://www.lecho.be/entreprises/servic … x/10120756



Les holdings belges préférés de Kepler Cheuvreux
25 avril 201911:58
©REUTERS

Le broker a épinglé trois holdings belges qui méritent, à ses yeux, un achat. Il conseille de "conserver" les cinq autres.

A côté des compartiments biotechs et SIR bien fournis, les holdings que l’on préfère appeler désormais sociétés d’investissements -cela fait moins veillot- représentent une autre spécificité de la Bourse de Bruxelles.

Ils sont nettement plus discrets que leurs condisciples de marché, mais ont toutefois ceci en commun avec les sociétés immobilières (SIR) : ils constituent, dans leur très grande majorité, des investissements de bon père de famille.

Kepler Chevreux a examiné à la loupe ces holdings qui ont, au final, chacun une stratégie propre et dont l’actionnariat est souvent d’origine familiale.

Le broker a tiré quatre enseignements majeurs de son étude approfondie. Les voici :

1. Les holdings sont des opérateurs efficients avec des coûts de gestion représentant 0,3% de la valeur intrinsèque.

2. La majeure partie de ces sociétés ont surperformé l’indice européen Stoxx 600. Depuis janvier 2007, les meilleurs performances sont le fait d’Ackermans (AvH) avec un return de 158%, de Sofina (141%) et de Brederode (135%).

3. Par nature, les holdings sont des valeurs défensives mais en dépit de leur "beta" faible la plupart d’entre eux sont exposés à des sociétés cycliques. La seule exception est Sofina.

4. La décote moyenne (différence entre la valeur intrinsèque et le cours de Bourse) des holdings examinés s’est rétrécie graduellement de 15% fin 2006 à 12,5% aujourd’hui en passant par un pic de 39% pendant la crise financière.

Les préférés...

Pour Kepler Chevreux, trois holdings méritent actuellement un achat. C’est le cas d’AvH ACKB-1,54% dont il a relevé son objectif de cours à 160 euros contre 150 euros avant, soit un potentiel de hausse de 12% par rapport au cours actuel. La longue expérience d’AVH qui contrôle ou affiche un haut degré d’influence sur 95% de ses participations est mis en avant, tout comme ses solides résultats antérieurs.

Sofina SOF-0,66% est considérée comme la "Belle au bois dormant" qui s’est réveillée récemment avec un return à deux chiffres sur les 15 dernières années surpassant ses indices de référence. Si pour Sofina dont la décote a été réduite à 10% il pourrait devenir difficile d’investir en raison de la concurrence et des valorisations élevées, Kepler Cheuvreux estime qu’il pourra gérer cette situation notamment grâce à son réseau impressionnant et son excellent positionnement. Son objectif de cours atteint 197,9 euros, soit un potentiel de hausse de 9%.

Enfin le troisième choix porte sur D’Ieteren DIE-0,41% qui a décidé, voilà quelques années, de s’éloigner du secteur automobile. Le broker souligne que le groupe a été capable de prendre un chemin durable vers la croissance des bénéfices suggérant une nouvelle amélioration de ses perspectives. L’objectif de cours est passé à 50 euros, soit dix euros en plus, offrant un potentiel de 36%.
...et les autres

Voici les conseils de Kepler pour les autres sociétés d’investissement :

Bois Sauvage COMB0,25%  : "conserver" ; 397 euros.

Brederode BREB-0,32%  : "conserver" ; 62,5 euros.

GBL GBLB0,00%  : "conserver" ; 90 euros.

Gimv GIMB-0,38%  : "conserver" ; 54 euros.

Quest for Growth QFG-0,34%  : "conserver" ; 6,3 euros. 
Stéphane Wuille,
Journaliste


JeanG

Dernière modification par JeanG (25-04-2019 17:54:41)

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Re : Réflexions sur les analystes

@ Jean G
Impossible de lire:il faut,je crois être abonné ! Merci quand même

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Re : Réflexions sur les analystes

@Praline,

J'ai mis le texte.

JeanG

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Re : Réflexions sur les analystes

@ Jean G.
Merci beaucoup Bon w e

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Re : Réflexions sur les analystes

On peut s'interroger sur la santé mentale des pseudo-investisseurs quand on constate un des faits du jour :

"Trigano: Oddo abaisse sa recommandation et son objectif.

(CercleFinance.com) - Oddo estime que le groupe a publié un chiffre d'affaires décevant au 4ème trimestre marqué par un recul de 9.4% à 469.8 ME alors que le bureau d'analyse s'attendait à 496.8 ME (consensus 537.5 ME).
' Cette évolution s'explique par un retrait prononcé des ventes de Camping-Car (environ 75% du CA consolidé ; CA T4 -12.5%) ' indiquent les analystes.
Suite à cette publication, Oddo abaisse sa recommandation à Neutre (au lieu d'achat) et son objectif de cours à 100 Euros (au lieu de 122 Euros)."

... et le titre dévisse de plus de 17 % ... coté ainsi à 75,25 € ! Nous sommes donc loin de l'objectif de 100 € ! :/
Les volumes sont pourtant faibles et donc très probablement le fait de petits boursicoteurs du dimanche ... roll

Cordialement,
Docanski

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Re : Réflexions sur les analystes

Résultat de la gestion des portefeuilles d'ânes à listes :

12% seulement des gérants ont fait mieux que leur indice de référence en 2019.
12 % seulement.
Donc 88% ont fait moins bien avec des frais beaucoup plus élevés.
Faut-il en déduire pour autant qu'il est préférable d'investir dans un fonds indiciel ?
Pas sûr pour autant, vu les résultats obtenus dans la moyenne de la "roulette russe" de nos membres : ils font mieux !
En effet, ce portefeuille créé par notre communauté a progressé de 20,33 % pendant la même période et donc davantage que la bourse. pouce bravo

Cordialement,
Docanski

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Re : Réflexions sur les analystes

et encore Doc, il y a la roulette, mais aussi les PF persos, je dirais même surtout les PF persos...

"Aussi vite que possible mais aussi lentement que nécessaire"

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Re : Réflexions sur les analystes

Salut doc.

Et n'oublions pas la cerise sur le gâteau.

Nos dividendes ne sont pas pris en compte sur la roulette

Je suis responsable de ce que j'écris,
mais pas de ce que les gens veulent ou croient comprendre smile

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Re : Réflexions sur les analystes

Publié hier par Bolero

Avis et recommandations du 17 avril :

KBC Securities rehausse la recommandation de Retail Estates de « Conserver » à « Acheter » mais abaisse l’objectif de cours de 84 à 60 euros.

KBC Securities abaisse l’objectif de cours de Econocom de 3,60 à 3,20 euros.

KBC Securities rehausse ‘objectif de cours de VGP de 128 à 129 euros.

Berenberg rehausse la recommandation de Proximus à « Conserver ». Selon les analystes, la mise en œuvre de la nouvelle stratégie constitue désormais le risque le plus important. Entre autres choses, le groupe débloque des fonds supplémentaires pour le réseau de fibres optiques et la 5G. L'objectif de cours va de 17,50 à 19,40 euros.

Goldman Sachs fait passer la recommandation pour Apple de « Neutre » à « Vendre ». L'objectif de cours de 233 dollars est inférieur de 19 % au dernier cours de clôture.

Wirecard perd sa recommandation "Acheter" chez Goldman Sachs et passe à "Neutre". Avec un objectif de cours de 130 euros, il y a encore un potentiel de hausse de 8,6 %.

UBS rehausse la recommandation de LafargaHolcim à « Acheter ». L'objectif de cours de 44 francs suisses offre un potentiel de hausse de 24 %.

UBS fait passer la recommandation de Kingspan de « Neutre » à « Vendre ».

Goldman Sachs fait passer la recommandation de Qualcomm de « Neutre » à « Vendre ». L'objectif de cours de 61 dollars est inférieur de 21 % au dernier cours de clôture.

Barclays fait passer la recommandation d'Accor de « Surpondérer » à « Performance en ligne avec le marché ». L'objectif de cours de 21 euros est inférieur de 15 % au dernier cours de clôture.

Barclays fait passer la recommandation de TexasInstruments de « Performance en ligne avec le marché » à « Sous-pondérer ». L'objectif de cours de 105 dollars est inférieur de 5,7 % au dernier cours de clôture.

Barclays abaisse la recommandation de SociétéGénérale de « Surpondérer » à « Performance en ligne avec le marché ». Cependant, l'objectif de cours de 25 euros offre un potentiel de hausse de 86%.

Barclays fait passer la recommandation de BNPParibas de « Sous-pondérer » à « Performance en ligne avec le marché ». L'objectif de cours de 40 euros offre un potentiel de hausse de 61 %.

KeyBanc Capital Markets fait passer la recommandation de Cisco de « Surpondérer » à « Performance en ligne avec le secteur ».

Deutsche Bank abaisse la recommandation pour IMCD de « Acheter » à « Conserver ». L'objectif de cours de 65 euros est inférieur de 9,7 % au dernier cours de clôture.

HSBC rehausse la recommandation pour BMW de « Conserver » à « Acheter ». L'objectif de cours de 62,50 euros offre un potentiel de hausse de 27 %.

Barclays abaisse la recommandation de Whitbread de « Surpondérer » à « Performance en ligne avec le marché ». L'objectif de cours de 2.500 pence est inférieur de 3 % au dernier cours de clôture.

Morgan Stanley reprend le suivi de T-Mobile d’une recommandation  « Surpondérer ». L’objectif de cours de 107 dollars offre un potentiel de hausse de 19 %.


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Il faudra bien un jour arrêter de confondre ce qui se vend et ce qui est bien.    Bob Dylan
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