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Sujet : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Bonjour,

Je vois le cours de cette biotech pulvériser les plafons de +/- 12 eur il y a moins de 1 mois à plus de 30eur à ce jour..

Je me demande quel est la raison de cette envolée intersidérale?? mis à part un article dans l'Echo du pdg qui indique uniquement que son action était sous valorisée.. Est ce que cette seule nouvelle a permis à ce titre de grimper à n'en plus finir ??

Les resultats de Cardio seront publiés ce 12/11..

des pronostiques quant à l'évolution du titre??

En tout cas, belle PV à ceux qui en ont ;-)) Ce qui n'est pas mon cas, sniff sniff ;-)

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Bon bin , j'ai trouvé les infos via l'Echo hier.. ;-)

Merci à tous pour vos avis ;-)

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Bonjour à tous,

Ici je vous joins le link d'un article parru dans Lecho.be.

http://www.lecho.be/les_cracks_en_actio … 2-7474.art

Bonne journée

Belgian

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Bonjour,

Explication à la hausse de ce jour et la suspension du titre?

Cardio 3 Biosciences a obtenu l'accord de l'agence américaine du médicament
(FDA) pour l'initiation aux Etats-Unis de l'étude clinique CHART-2 de son
produit phare C3BS-CQR-1 (C-Cure).

Cette seconde étude clinique de phase III, CHART-2, a pour objet l'évaluation
aux Etats-Unis de l'efficacité de C3BS-CQR-1 comme traitement de l'insuffisance
cardiaque d'origine ischémique.

CHART-2 est une étude prospective, multicentrique, randomisée, contrôlée en
double aveugle (patients et évaluateurs), comparant le traitement C3BS-CQR-1 à
une procédure de contrôle.

L'étude recrutera au total près de 240 patients présentant une insuffisance
cardiaque chronique symptomatique avancée.

Le paramètre principal évalué dans cette étude est la distance de marche à six
minutes après traitement, test communément utilisé pour mesurer la performance
cardiovasculaire.

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Merci Cnico pour les infos, est-ce que çà justifie une telle montée de cours ?  Je crains un scénario à la Thrombo. Pour info je n'en ai pas parce que je me suis méfié du post ipo depuis le début. Peut-être était-ce une erreur.
bonne soirée
demat

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

@Demat: il y avait aussi un analyste (je ne me souviens plus duquel) qui a entamé le suivi et a annoncé ce matin qu'il la voyait à 77 euros…
Cordialement,
Nico

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

@Demat: Bonsoir, effectivement, nous avons eu une flambée du cours, une suspension, puis une baisse. C'est un scénario que nous commençons à connaître Thrombo, euronav, cardio n'oublions pas qu'il s'agit de la phase III des tests, puis les résultats, puis les préparations diverses, puis enfin une commercialisation éventuelle. Donc, certainement pas de résultats finaux avant 2015 au plus tôt.
Donc, à mon avis, inutile de s'emballer outre mesure. Patience et observation sont mamotivation.
Cnico

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Salut Nico et Cnico,
@Cnico, nous sommes sur la même longueur d'ondes, je viens d'ailleurs de poster un commentaire dans ce sens dans la rubrique "communauté" pour cette action sur le site de l'echo.  Je crois en effet qu'il est trop tôt pour tirer des conclusions à la hausse.  Si j'en avais, je prendrais ma pv maintenant et verrais par la suite à y revenir éventuellement.
@Nico
Tu as raison il y a bien un analyste qui entame le suivi avec cet objectif de cours. Mais tu sais ce qu'il en est (voir thr tig ablx glpg...).  D'autant plus que cet objectif s'approche de SANOFI, qui est bien plus loin et plus mûre que cardio3.  A mon humble avis, méfiance.  Mais je peux bien sûr me tromper. Chat échaudé craint l'eau froide.
Bonne soirée et bien à vous,
demat

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

@demat, également si j'en avais je vendrais ( je ne sais pas si des boursicoteur du fofo en on?)

j'avais hésité d'en prendre et j'ai pris des ablynx car je mettais déjà documenté dessus... et cette dernière stagne pour le moment...

Comme vous dites ... patience.

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Salut testeur,
je pense que ablynx est un bon choix,
bien à toi
demat

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Bonjour,

- Invest Securities reste à l'achat sur Cardio3 et relève
l'objectif de cours à 61,7 euros, contre 27,3 euros précédemment, après que le
groupe a obtenu l'accord de la FDA pour l'initiation de l'étude clinique
CHART-2 de C-Cure.

Cette seconde étude de phase III a pour objet l'évaluation aux USA de
l'efficacité du produit comme traitement de l'insuffisance cardiaque d'origine
ischémique.

Le bureau d'études attendait cette annonce plus tard dans l'année,
éventuellement après des résultats intermédiaires de l'étude CHART-1 de phase
III déjà démarrée depuis près d'un an en Europe.

'Le fait que le plan de marche de Cardio3 soit en avance sur ce qui était
prévu est une excellente nouvelle', estime-t-il. 'Qu'en plus il s'agisse d'une
autorisation délivrée par la FDA pour un essai sur le marché US en constitue
une autre', ajoute-t-il.

L'analyste révise à la hausse son modèle sur la base d'un lancement US en 2018
(2016 en Europe), d'un pic de ventes EU+USA de 1,8 milliard d'euros.

Il considère que cet accord donne à Cardio3 un statut boursier plus proche des
standards américains pour une société leader dans une technologie pionnière
(thérapie cellulaire autologue).

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Bonjour

Des cellules souches pour réparer le cœur
Par Yann Verdo | 26/01 | 15:49 | mis à jour à 16:05


Un espoir pour les victimes d’un infarctus du myocarde : grâce aux progrès de la médecine régénérative, il sera bientôt possible d’aider le muscle cardiaque à s’autoreconstituer.


Le cochon intubé, qui gît les pattes en l’air au centre de ce bloc opératoire de la Mayo Clinic peut être fier de lui : l’intervention chirurgicale qu’il est en train de subir relève d’une nouvelle technique qui va peut-être changer le cours de la médecine cardio-vasculaire. A l’autre bout du cathéter qu’il manipule avec minutie, l’œil rivé sur l’écran de son appareil de radiographie, le jeune Dr Atta Behfar lui injecte en quelques minutes plusieurs centaines de millions de cellules souches dans le cœur. A quelques pas de là, un peu plus tôt dans la journée, le Dr André Terzic, directeur du Centre de médecine régénérative de la Mayo Clinic et professeur d’Atta Behfar, et le Dr Christian Homsy, PDG de Cardio3 Biosciences, ont subi une heure durant le feu des questions de journalistes. Le premier a mis au point une technique de régénération des cœurs endommagés par un infarctus du myocarde au moyen des cellules souches du patient ; le second dirige la société belge chargée depuis 2007, date de l’obtention d’une licence exclusive, d’industrialiser et d’exploiter cette découverte.

Au programme de leur conférence de presse à deux voix : le récent feu vert de la Food and Drug Administration (FDA) pour passer aux essais cliniques de phase III sur le sol américain, huit mois après le démarrage de ces mêmes essais sur le Vieux Continent. C-Cure – c’est le nom de ce procédé développé conjointement par la Mayo Clinic et Cardio3 – n’est déjà plus l’apanage des souris et des cochons. Ils seront bientôt plusieurs centaines d’hommes et de femmes souffrant d’insuffisance cardiaque à la suite d’un infarctus à en bénéficier. « La période actuelle est exaltante, confie André Terzic. Il ne s’agit plus de tester une technologie nouvelle sur quelques patients, mais d’apporter une solution curative à tous ceux qui en ont besoin. »
Un coup de pouce à la nature

Les cellules souches sont de multiples sortes. Leur seule caractéristique commune est leur capacité à se différencier en cellules spécialisées, celles-là mêmes dont sont faits les tissus et organes de notre corps : cellules de peau, cellules de sang, cellules de rein ou de foie, cellules nerveuses (neurones), etc. Parmi les différentes familles de cellules souches, les plus connues sont celles présentes aux tout premiers stades de l’embryon et qui vont justement lui permettre, en se multipliant et se différenciant, de devenir un être humain. C’est d’ailleurs avec de telles cellules souches embryonnaires qu’a été réalisée, en France, la toute première injection sur un cœur humain, sous la houlette du Dr Philippe Menasché, de l’Hôpital européen Georges-Pompidou.

Mais nous possédons aussi dans notre corps des cellules souches adultes, qui nous servent par exemple à recréer de la peau après une blessure légère ou à ressouder un os après une fracture. Toutefois, cette capacité autorégénératrice du corps reste limitée : ses cellules souches ne permettront pas à un grand brûlé de retrouver son visage d’avant. En outre, certains de nos organes, et non des moindres, se régénèrent naturellement mal, ou trop lentement. C’est le cas du cœur. Il ne reste cependant pas immuable au long d’une vie. « Nous ne mourons pas avec le cœur qui nous a vu naître. Nous ne savons pas encore à quel rythme se fait ce renouvellement, mais il est au moins d’un pour cent par an », explique André Terzic.

Toute la médecine régénérative, champ de recherche en plein essor qui pourrait changer la face de la médecine, se réduit au fond à une chose : donner à la nature un petit coup de pouce – et aux organes gravement endommagés une seconde chance – grâce à des cellules souches dopées artificiellement et injectées massivement.

Mais ces injections ne doivent pas se faire n’importe comment, car les cellules souches sont une arme dangereuse. Christian Homsy le rappelle : « Les animaux situés au bas de l’échelle évolutive possèdent une capacité autorégénératrice bien supérieure à la nôtre, comme le montre la queue des lézards. L’évolution l’a réduite afin de protéger les espèces supérieures, car c’est un mécanisme à double tranchant qui entre aussi en jeu dans la multiplication des cellules cancéreuses. »
De fantastiques perspectives

D’où l’intérêt des cellules souches adultes par rapport aux cellules souches embryonnaires, dont la capacité à se multiplier est maximale et qui, mal contrôlées, peuvent dégénérer en tumeurs. Prises dans la moelle osseuse du patient, les cellules souches adultes utilisées par Cardio3 appartiennent à la catégorie des cellules souches mésenchymateuses (CSM), qui peuvent aussi bien produire du cartilage que de l’os, du muscle ou du sang.

Le procédé C-Cure consiste à les plonger pendant quatre à cinq semaines dans un bain de culture qui les transforme en de bons petits soldats de l’autoréparation musculaire – un peu comme si on leur avait fait suivre une formation intensive. Injectées à la périphérie de la zone nécrosée par un infarctus, ces CSM spécialement traitées induisent le cœur à « refaire du muscle », ce qu’il effectue notamment en réveillant les cellules qui s’étaient mises en état d’hibernation pour éviter la mort cellulaire à laquelle avaient succombé leurs voisines. Et ça marche ! Validés tant par la FDA que par les autorités européennes, les essais cliniques de phase II ont montré que les cœurs ainsi invités à s’autoréparer redevenaient capables de pomper jusqu’à 25 % de sang de plus qu’avant l’intervention, redonnant aux insuffisants cardiaques la possibilité de faire de petites marches sans s’essouffler. « Les patients ne sont pas totalement guéris, loin de là, mais sont ramenés à un stade moins avancé de leur maladie », résume Christian Homsy.

D’autres succès, obtenus par des voies un peu différentes, confirment cet espoir. Ainsi la société française CellProthera, autre pionnier de la médecine régénérative du cœur, utilise-t-elle un autre type de cellules souches de la moelle osseuse (des « CD34 + ») pour permettre à des patients venant de subir un infarctus sévère de reconstruire à la fois du muscle cardiaque et des vaisseaux sanguins. « Les essais pilotes réalisés entre 2002 et 2006 sur sept patients ont montré que trois d’entre eux, qui auraient dû avoir une transplantation cardiaque, ne l’ont pas eue et se portent aujourd’hui comme un charme », indique Jean-Claude Jelsch, directeur général de CellProthera.

Mais l’essentiel n’est pas là. Il est dans les fantastiques perspectives ouvertes par la médecine régénérative dans toutes les directions. Que ce soit en neurologie, en orthopédie ou en chirurgie plastique, les cellules souches font l’objet d’intenses travaux. De même que les différentes générations d’antibiotiques ont révolutionné la médecine dans le sillage de la découverte de la pénicilline à la fin des années 1920, les différentes générations de cellules souches constituent, cent ans plus tard, un second tournant majeur. La comparaison avec les antibiotiques n’est pas fortuite. Comme le dit André Terzic, « ce sont les deux seuls cas dans l’histoire de la médecine où une solution véritablement curative est proposée. Tous les autres médicaments ne font que traiter les symptômes de la maladie, pas ses causes. »
C'est une avancée mondiale yam

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Achat aussi ce jour de bio sciences a 6,70 eur yam
Vais prendre thr car bruits de couloirs

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

Salut Yam2,
Ayant déjà une ligne de thr et très intéressé par cette boite, peux-tu svp en dire plus sur les bruits de couloirs ?
merci
bien à toi
demat

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Re : Celyad (ex Cardio3biosciences)

demat 
je reponds dans"" de tout et de rien"" yam