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Sujet : Adidas

Cours: 62,70 €; P/B: 2,14; PER: 20,29; Dividende brut: 2,6%; Objectif: 70 (+10%)

Sous-évaluée par rapport au secteur (PER Nike: 26, PER Puma: 35).
Bilan sain. Plan rachat actions propres 1,5 Mia.€
Cession éventuelle Reebok.
Baisse des ventes en Russie et faiblesse du rouble. Baisse ventes équipement de golf (Taylor Made) mais fermeture d'une usine au Texas (contrôle des coûts). Réaction rapide du management à la situation.

je compte renforcer ma ligne.

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Re : Adidas

Berlin, 26 mars 2015 (AFP)

L'équipementier sportif allemand Adidas, numéro deux mondial, a annoncé jeudi qu'il prévoyait d'augmenter son bénéfice net de 15% par an en moyenne d'ici 2020, grâce à une nouvelle stratégie axée notamment sur le renforcement de sa présence dans les grandes métropoles.

La réorientation doit lui permettre de faire croître le chiffre d'affaires de plus de 5% par an en moyenne. Le groupe veut aussi se montrer plus généreux à l'égard de ses actionnaires, avec un taux de distribution compris à l'avenir entre 30% et 50%, contre 20% à 40% à l'heure actuelle, selon un communiqué.

La nouvelle stratégie, qui vise à réduire l'écart qui se creuse avec le numéro un du secteur Nike, est basée sur "trois piliers stratégiques", selon le communiqué, "rapidité, villes, et +open source+".

Rapidité signifie que le groupe, maison mère de la marque Adidas, de Reebok et de TaylorMade dans le golf, veut présenter des nouvelles collections de plus en plus souvent.

Il veut aussi augmenter la part de son chiffre d'affaires générée par ses propres surfaces de vente, et faire évoluer ses capacités de production pour permettre plus de personnalisation des produits. Le développement de la vente en ligne doit également être accéléré.

Le recentrage sur les villes doit le voir se concentrer sur "six métropoles importantes", à savoir Los Angeles, New York, Londres, Paris, Shanghai et Tokyo. "Dans ces villes, Adidas va investir de manière renforcée dans des talents, de la visibilité et le marketing".

Sous le vocable "open source", Adidas entend l'implication croissante des consommateurs dans "la manière dont les produits sont créés, développés et présentés".

Adidas, qui emploie quelque 53.000 salariés dans le monde et a réalisé l'an dernier 14,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires, a souffert ces derniers temps de la faiblesse du marché russe, un gros débouché pour lui, et des difficultés de TaylorMade. L'écart s'est creusé avec Nike, et aux Etats-Unis l'allemand a même été relégué en troisième position derrière le nouveau venu Under Armour.

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Re : Adidas

Update Adidas

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Re : Adidas

Adidas a présenté les chiffres du 1er semestre. Bonne progression du CA. Bénéfice un peu moins bon qu'attendu, dû à division Golf. Envisage de se séparer de Taylormade (Golf).

Luc

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Re : Adidas

L'action a été boostée aujourd'hui après publication des résultats.

Luc

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Re : Adidas

Ci-après un lien vers un update.

https://buyandholdinvestment.wordpress. … 18/adidas/

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Re : Adidas

Adidas "très optimiste" pour 2016 mais sous pression pour être plus rentable

Herzogenrauch (awp/afp) - L'allemand Adidas espère capitaliser l'an prochain sur l'Euro de football et les Jeux Olympiques, mais l'équipementier sportif devra se montrer plus rentable s'il veut confirmer son rebond avant le départ de son patron Herbert Hainer en 2017.

"2016 sera une année sportive passionnante", et le groupe allemand est "très optimiste" au vu des commandes pour les six premiers mois, a assuré M. Hainer cette semaine lors d'une rencontre avec la presse.

"Nos livres de commandes sont pleins, (...) je ne les ai jamais vus aussi pleins en 15 ans ici", insiste le patron, aux commandes d'Adidas depuis 2001.

Toutefois, aux yeux de beaucoup d'investisseurs, la jauge du succès l'année prochaine "ne sera pas une question de croissance des ventes, mais une question de marges", pointe Cédric Rossi, analyste chez le courtier Bryan Garnier.

Le dollar fort menace de manger les marges du bavarois, car il fabrique comme toute l'industrie ses produits en Asie avec des contrats conclus en dollars, qu'il va devoir payer plus cher.

Adidas est particulièrement concerné : ses marges sont déjà pâles face au leader mondial Nike. M. Hainer assure pouvoir compenser par des "réductions de coûts" et des hausses des prix.

- point faible -

Mais la rentabilité est le gros point faible chronique d'Adidas. "M. Hainer n'a jamais réussi à augmenter les marges", regrette-t-on chez Union Investment, un des grands actionnaires. Ce fonds d'investissement souhaite "de l'air frais, avec un nouveau chef venu de l'extérieur" pour le remplacer à la fin de son contrat en 2017.

Les spéculations à ce sujet ont été relancées après la récente entrée au capital du milliardaire égyptien Nasser Sawiris, un investisseur connu pour son activisme, qui collabore avec un autre actionnaire important d'Adidas : l'américain Mason Hawkins et son fonds Southeastern Asset Management. Leurs intentions restent floues, M. Hainer assure être en contact sans subir de pressions.

Pourtant, "ils ne sont pas rentrés au capital pour regarder passer les trains", fait valoir M. Rossi.

La Bourse a fait fête à Adidas cette année: avec une croissance de 59% depuis le 1er janvier l'action a enregistré la plus forte progression du Dax. De quoi éclipser l'annus horribilis 2014, gâchée par deux avertissements sur résultats et une dégringolade du titre de 38%, à cause de lourdes difficultés en Russie et dans la division golf, dont Adidas envisage désormais de se séparer.

Même sans Mondial de football comme en 2014, le géant bavarois a redressé ses ventes cette année et a relevé ses objectifs financiers annuels en novembre.

- les Etats-Unis scrutés -

"Le rebond a eu lieu plus tôt que ce qu'on pouvait espérer", observe M. Rossi. Mais "2016 doit être l'année de la confirmation", en particulier aux Etats-Unis, prévient-il.

Sur ce marché clé, Adidas a abandonné sa place de dauphin derrière Nike au nouveau venu Under Armour. Mais l'allemand met les bouchées doubles pour se reprendre : les dépenses marketing y ont augmenté "d'environ 50%" sur les neufs premiers mois de 2015, souligne M. Hainer.

Adidas veut sponsoriser 500 nouveaux athlètes dans des sports typiquement américains pour se refaire une réputation et a déjà recruté le basketteur James Harden et le quarterback Aaron Rodgers. Il va également ouvrir un nouveau magasin de 4.000 m2 à New York sur la 5e Avenue "en 2016", a annoncé M. Hainer.

Le patron espère une croissance des ventes "à deux chiffres" l'année prochaine aux Etats-Unis. Dans le monde, Adidas vise une croissance entre 6 et 9% de ses ventes et bénéfices en 2016.

Avec 10 équipes sous son logo pour l'Euro en France, l'équipementier sera le mieux représenté de la compétition. De quoi "poursuivre notre domination dans le football en Europe de l'Ouest", croit M. Hainer, après qu'Adidas a dopé ses ventes de maillots en 2015 grâce à l'arrivée des poids lourds Manchester United et Juventus de Turin dans son vestiaire.

afp/fr

(AWP / 09.12.2015 09h48)

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Re : Adidas

Les coûts de fabrication étant en augmentation en Asie, Adidas est en train de construire une usine de fabrication entièrement robotisée de chaussures en Allemagne. Celà devrait baisser considérablement le coût de production et ramener la production plus près des points de vente, baissant par la même occasion les coûts de transport.
Un premier lot pilote devrait sortir debut 2016.

Luc

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Re : Adidas

Nouveau CEO annoncé. Kasper Rorsted (depuis 2008 CEO chez Henkel) succède à Herbert Hainer. L'action monte de 10%.

Luc

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Re : Adidas

LONDRES (Reuters) - Adidas va mettre un terme avec près de quatre ans d'avance à son partenariat avec la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) en raison du scandale de corruption et de dopage dans laquelle celle-ci est plongée, rapporte la BBC.

Principal sponsor de l'IAAF, l'équipementier sportif allemand considère que les soupçons pesant sur la fédération internationale sont un motif de rupture de leur accord, qui devait courir sur onze ans, selon la BBC.

Reuters n'a pas été en mesure de confirmer ces affirmations. Il n'a pas été possible de joindre dans l'immédiat ni Adidas ni l'IAAF, qui n'ont ni l'un ni l'autre réagi auprès de la BBC.

Citant des sources anonymes, cette dernière rapporte que l'accord porte sur un montant d'environ huit millions de dollars (7,4 millions d'euros) par an. Il a permis à Adidas de devenir un "partenaire officiel" de l'IAAF au même titre que Canon, Toyota, Seiko, TDK, TBS et Mondo.

Une commission indépendante de l'Agence mondiale antidopage (AMA) a accusé le 14 janvier Lamine Diack, ancien président de l'IAAF, d'avoir organisé et permis un système de corruption au sein de l'instance mondiale de l'athlétisme. Cette même commission avait précédemment fait état en novembre d'un système généralisé de dopage dans l'athlétisme russe.

(Mitch Phillips, Bertrand Boucey pour le service français)

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Re : Adidas

Adidas fort optimiste

Francfort (awp/afp) - Adidas s'apprête à changer d'ère et réserve de bonnes nouvelles à son futur nouveau patron, le Danois Kasper Rorsted: l'équipementier sportif allemand a relevé jeudi ses objectifs financiers 2016, après une année 2015 meilleure que prévu.

Pour l'année en cours, les carnets de commandes bien remplis - JO de Rio et Euro-2016 de football obligent - laissent augurer d'une "croissance à deux chiffres" des ventes et du bénéfice d'exploitation, à taux de change constants. Le groupe bavarois misait jusqu'ici sur une croissance à un chiffre seulement pour ces deux agrégats.

Adidas promet également de maintenir une marge d'exploitation au moins stable, et ce en dépit d'une hausse des coûts d'approvisionnement et de main-d'oeuvre. Cet indicateur de rentabilité est très regardé dans le secteur, où le dollar fort va peser sur les marges de tous les équipementiers: ils produisent en Asie avec des contrats conclus en dollars, désormais plus onéreux.

Ce regain d'optimisme plaisait aux investisseurs. A 10H00 GMT, l'action Adidas engrangeait 1% à 87,89 euros, seule valeur à échapper au marasme ambiant sur un indice vedette Dax en chute de plus de 3%.

Le titre a déjà largement profité de l'annonce de l'arrivée au 1er octobre prochain d'un nouveau patron, Kasper Rorsted, chipé avant la fin de son contrat au fabricant de cosmétiques et détergents Henkel.

L'action "Adidas a battu Nike et les valeurs du luxe de plus de 15% lors des trois dernier mois", a remarqué Piral Dadhania, analyste de RBC Capital Markets.

Le mouvement traduit le soulagement des investisseurs face au départ de l'ancien patron Herbert Hainer, à la tête d'Adidas depuis 2001 et largement discrédité depuis 2014, où le Mondial de football au Brésil avait été gâché par les difficultés en Russie et le plongeon du golf.

"Nous sommes en grande forme" et la stratégie du groupe "porte déjà ses fruits" a tenu à souligner M. Hainer jeudi.

- Investir face à Nike -

Adidas, propriétaire de la marque aux trois bandes du même nom et de Reebok, a dégagé un bénéfice net en hausse de 12% à 720 millions d'euros en 2015. Ce chiffre n'inclut toutefois pas une dépréciation de 34 millions d'euros sur les activités en Russie.

Les ventes ont grimpé de 16% à 16,9 milliards d'euros, portées par une solide demande et des effets de change favorables.

Adidas a choisi de publier ces premiers éléments de résultats avant la date prévue, le 3 mars, parce qu'ils excèdent les prévisions du marché. Le consensus compilé par Factset misait sur un chiffre d'affaires de 16,8 milliards d'euros et un bénéfice net de 707 millions.

La surperformance des ventes s'explique par "une croissance à deux chiffres en Europe de l'Ouest, en Chine, en Amérique latine et dans la région Moyen Orient-Afrique", selon le communiqué. Les Etats-Unis, où Adidas met les bouchées doubles pour regagner sa place de dauphin derrière Nike, volée par Under Armour, ne sont pas mentionnés, mais le groupe affirme y avoir connu "une dynamique accélérée" au quatrième trimestre.

Lancé à la poursuite de Nike, l'Allemand a gonflé ses investissements de 20% en 2015, pour "renforcer l'attractivité des marques à long terme".

Cela se traduit par de nouveaux contrats avec des sportifs professionnels en vue, en priorité en Amérique du Nord dans des sports typiquement américains, mais aussi une inflation galopante des dépenses pour défendre son bastion traditionnel du football.

Après avoir renouvelé son contrat avec le Bayern Munich à grand frais en 2015, Adidas est proche d'un nouveau contrat record avec le Real Madrid, pour 140 millions d'euros par saison jusqu'en 2026, selon la presse espagnole. Et il se montre toujours très patient avec la Fifa, embourbée dans son scandale de corruption.

A contrario, l'équipementier est sévère dans les sports moins rentables. Il envisagerait ainsi de couper les vivres à la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF), frappée par un retentissant scandale de dopage.

afp/al
(AWP / 11.02.2016 11h19)

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Re : Adidas

Adidas attend pour 2016 une hausse de ses ventes de 10% à 12%

Berlin (awp/afp) - Le géant allemand des équipements sportifs Adidas a affiné jeudi ses prévisions de résultats pour 2016: il attend une hausse de 10% à 12% de son chiffre d'affaires hors effets de change, et un bénéfice net autour de 800 millions d'euros.

Cela représenterait une hausse d'environ 10% par rapport au bénéfice net de l'an passé, confirmé jeudi à 720 millions d'euros, conformément aux chiffres préliminaires déjà communiqués. Adidas avait à cette occasion aussi donné de premiers éléments de prévisions.

Le groupe, numéro deux mondial du secteur derrière Nike, pourra compter cette année entre autres sur l'Euro de foot en France et les Jeux olympiques de Rio pour soutenir son activité. Mais ses coûts s'alourdissent aussi, et notamment les coûts d'approvisionnement et de main d'oeuvre.

Comme ses concurrents, Adidas produit en Asie avec des contrats conclus en dollars, rendus plus onéreux par l'appréciation de la devise américaine par rapport à l'euro.

Pour compenser, Adidas peut compter sur une ventilation des canaux de distribution plus à son avantage - plus de magasins en propre, au détriment de distributeurs intermédiaires - et sur "une répartition géographique des ventes plus avantageuse" , où la part de la Russie notamment, gros marché pour lui et gros point noir en 2015, décline.

Adidas, qui a dégagé l'an dernier un chiffre d'affaires de presque 17 milliards d'euros et emploie plus de 50.000 personnes dans le monde, sera dirigé à partir d'octobre par un nouveau patron, le Danois Kasper Rorsted, actuellement aux manettes du fabricant de lessive et de colles Henkel.

Le patron sortant, l'Allemand Herbert Hainer, a promis dans un communiqué jeudi que 2016 constituerait "un pas réussi sur le chemin pour devenir le meilleur équipementier du monde".

Adidas bataille pour rattraper Nike et tenir tête à plusieurs nouveaux venus sur le marché, comme l'américain Under Armour. L'allemand va notamment concentrer ses efforts sur le marché américain, où Under Armour lui a chipé la place de numéro deux.

afp/jh
(AWP / 03.03.2016 08h13)

Dernière modification par Cnico (03-03-2016 09:25:48)

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Re : Adidas

Adidas: une collection à partir de déchets collectés dans les océans:

https://buyandholdinvestment.wordpress. … es-oceans/

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Re : Adidas

Bonjour à tous .
Les prévisions sont bonnes , le cours a beaucoup augmenté ...
Faut-il s'alléger ?
Que font ceux qui en ont ?
Merci

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Re : Adidas

l'investisseur à vendu toute ses adidas hier ou ce matin je ne sais plus