31

Re : Alibaba

Chère Birdie,

Merci pour tes infos car moi aussi je dois me renforcer car je n'ai pris qu'une demi position
Mais je les ai acheté trop cher (mauvais timing) avant la chute de fin janvier.
Je fais le gros dos car comme toi je crois au potentiel de la valeur.
Reste a savoir combien de mois il faudra attendre pour qu'elle reprenne sa montée.

Amicalement et bon week end à tous.

32

Re : Alibaba

Bonjour

Alibaba sur le site de zonebourse semble présenter un support vert 80,15 81,15 alors un achat dans les 85$ n'est il pas audacieux et un achat sur ce qui semble un support de 80/81 $ serait plus sage?.

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Re : Alibaba

@René,
Un achat sur 85 était hâtif et pas audacieux, juste impulsif, je l'avoue.

J'attendais retour sur ce support avec l'expiration, qui ne s'est pas produit, alors? Si c' retour sur 81 en Septembre avec passage par 100 en été, ça me va, car je revendrai.

Amicalement

Birdie

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Re : Alibaba

@Birdie

Si tu est encore dans Alibaba d'après ce que je comprend de cet article elle est plutôt surévaluée et il vaut mieux ne pas y être que d'y être. Ceux qui osent pourraient même la jouer en turbo short.
http://seekingalpha.com/article/3219376 … -honeymoon

35

Re : Alibaba

@René,
En effet j'y suis encore, merci pour l'article.

Birdie

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Re : Alibaba

@René,
Pas d'accord avec l'article, ne tient pas compte de l'extension aux achats via gsm, ni de l'extension à l'Inde, ok marché chinois, probablement  peu de croissance encore possible surtout en B2B, mais il y a le reste du monde.

Si tu compares les bénefs (?) d'Amazon et de Baba, c'est tout vu.

Ceci amaha comme d'hab.

Amicalement

Birdie

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Re : Alibaba

Bonjour

La chute de la bourse chinoise est ce une occasion pour acheter le titre Alibaba?. Votre avis, opinion.

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Re : Alibaba

On peut aussi jouer Softbank qui est une holding Japonaise qui détient 35% de Alibaba avec une belle décote (comme souvent pour les holdings).

Luc

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Re : Alibaba

Pékin (awp/afp) - Le géant chinois du commerce en ligne Alibaba va débourser 28,3 milliards de yuans (4,5 mrd CHF) pour acquérir 19,99% des parts de Suning, une populaire chaîne chinoise de magasins d'électronique et d'électroménager, ont annoncé les deux groupes lundi.


De son côté, Suning investira jusqu'à 14 milliards de yuans dans Alibaba à la faveur d'une émission de nouvelles actions, devenant un actionnaire de l'entreprise à hauteur de 1,1%, ont-ils ajouté dans un communiqué commun.


"Cette collaboration stratégique entre Alibaba et Suning est un acte décisif signalant une intégration plus poussée entre +online+ (vente sur internet) et +offline+ (centres commerciaux)", ont-ils observé.


Ce rapprochement entre Alibaba --dont le spectaculaire essor a fait chuter les achats dans les centres commerciaux-- et Suning --dont le business model est fondé sur son large réseau de magasins en dur-- peut surprendre de prime abord. Mais chacun y trouvera son compte, assure le communiqué.


D'un côté, Suning --qui se présente comme la première chaîne de magasins d'électronique du pays-- gagnera en visibilité sur internet, avec l'ouverture d'une boutique dédiée sur Tmall, la plateforme de vente de professionnels à particuliers opérée par Alibaba. Laquelle contrôle plus de 50% du marché chinois sur ce créneau.


De l'autre, Alibaba profitera à plein du maillage très serré des magasins et centres de distribution de Suning à travers toute la Chine pour améliorer ses circuits logistiques et réseaux de livraison.


Suning, qui compte plus de 1.600 points de vente et plus de 3.000 points de services après-vente dans le pays, travaillera ainsi étroitement avec Cainiao, la filiale logistique d'Alibaba.


Par ailleurs, "les consommateurs pourront expérimenter les produits en magasin (Suning) avant de concrétiser d'autres opérations --la commande et le paiement-- à l'aide de leur téléphone portable", poursuit le communiqué.


"Ces deux dernières décennies, le commerce électronique est devenue une partie intégrante de la vie des consommateurs chinois, et avec cette alliance, nous inaugurons un nouveau modèle associant +offline+ et +online", s'est réjoui Jack Ma, emblématique fondateur d'Alibaba.


"Cette collaboration traduit une tendance inédite de l'ère internet: renforcer les secteurs traditionnels avec le pouvoir du web", a renchéri Zhang Jindong, président de Suning.


Cette annonce intervient alors que la stratégie d'Alibaba fait l'objet d'un scepticisme croissant chez les investisseurs, sur fond de vif repli de son titre à Wall Street.


Le groupe est confronté en Chine à un environnement de plus en plus concurrentiel face à l'émergence d'autres plateformes de vente électronique, tout en étant engagé avec Baidu et Tencent --autres géants chinois de l'internet-- dans une bataille acharnée sur le lucratif créneau de la finance en ligne.


Résolu à diversifier encore davantage ses activités, Alibaba avait annoncé fin juillet investir jusqu'à 1 milliard de dollars pour étoffer pour son offre de "cloud"(services informatiques dématérialisés) à l'international.


afp/al


(AWP / 10.08.2015 11h29)

40

Re : Alibaba

Agence France-Presse
Honk Kong

Le fondateur du géant chinois du cybercommerce Alibaba, Jack Ma, est en pourparlers pour racheter une partie du groupe qui publie le journal hongkongais South China Morning Post (SCMP), a rapporté l'agence financière Bloomberg News.

Les négociations en sont à un stade avancé, a ajouté l'agence, qui cite deux sources non identifiées proches du dossier. Une cérémonie de signature aura lieu bientôt, a dit l'une d'elle.

Si cette transaction se réalise, il s'agirait d'une nouvelle illustration de l'intérêt des grands de l'internet dans le monde des médias traditionnels au moment où celui-ci est en difficulté.

Jeff Bezos, le fondateur d'Amazon, géant américain de la distribution en ligne, fait l'acquisition du Washington Post en octobre 2013. En 2012, Chris Hugues, cofondateur de Facebook, a pris le contrôle du magazine New Republic, fleuron de la presse de centre-gauche aux États-Unis.

Alibaba s'est refusé à tout commentaire sur ces informations.

Le SCMP, fondé en 1903, est le principal journal en langue anglaise de l'ancienne colonie britannique rétrocédée à la Chine en 1997. Il s'agissait jadis de l'un des journaux les plus profitables du monde rapporté au nombre de lecteurs. Mais comme ailleurs, ces derniers se tournent de plus en plus vers l'internet.

Le SCMP est aux mains depuis 1993 du milliardaire malaisien Robert Kuok, qui l'avait racheté au magnat des médias Rupert Murdoch.

Le groupe SCMP a également des intérêts, entre autres, dans l'imprimerie et le magazine.

Début novembre, Alibaba a signé un accord pour acquérir la totalité de la plus grande plateforme chinoise de vidéos sur internet, Youku Tudou.

Alibaba, souvent décrit comme l'équivalent en Chine d'eBay ou d'Amazon, est le leader du commerce en ligne dans le pays asiatique, mais la compagnie cherche à se diversifier au-delà de ses traditionnelles plateformes de vente.

41

Re : Alibaba

Alibaba va débourser 242 mio EUR pour racheter le South China Morning Post

Hong Kong (awp/afp) - Alibaba va débourser l'équivalent de plus de 242 millions d'euros pour racheter le South China Morning Post (SCMP), un montant bien supérieur aux attentes, qui fait craindre pour l'indépendance du quotidien anglophone de référence de Hong Kong.
Des experts avaient évalué le SCMP à la moitié de ce montant. Et pour certains analystes, la somme déboursée par le géant chinois de l'internet reflète sa volonté de contrôler les médias dans l'ancienne colonie britannique.
Alibaba "a accepté d'acheter le secteur média du groupe SCMP pour 2.060,6 millions de dollars hongkongais", a indiqué lundi le SCMP dans un communiqué à la Bourse de Hong Kong.
Le groupe SCMP comprend tout un portefeuille de magazines tels que les éditions de Hong Kong de Elle, Cosmopolitan, Esquire, The PEAK ou Harper's Bazaar.
Le SCMP compte aussi d'autres titres comme son édition dominicale, son édition numérique SCMP.com et des applications de téléphonies mobiles, de même que les deux sites chinois Nanzao.com et Nanzaozhinan.com.

"Avec une expertise reconnue, notamment dans l'internet mobile, Alibaba est en excellente position pour utiliser au mieux la technologie afin de créer du contenu de manière plus efficace et d'atteindre une audience globale", affirmait récemment Robin Hu, PDG de ce journal.
"Notre objectif est d'étendre le lectorat du South China Morning Post à travers le monde grâce à la distribution numérique et un accès plus facile aux contenus", avait commenté quant à lui Joe Tsai, vice-président exécutif du groupe Alibaba.

Le journal continuera à faire preuve d"objectivité, d'exactitude et d'équité" et "aura le courage d'aller à l'encontre des idées reçues", avait assuré M. Tsai dans une lettre aux lecteurs publiée après l'annonce du rachat.

Mais dans un questions-réponses publié sur le site du quotidien, le vice-président d'Alibaba a accusé les médias occidentaux de parti pris contre la Chine.

"De nombreux journalistes travaillant pour les médias occidentaux s'opposent au système de gouvernance en Chine et cela déforme leur couverture. Nous voyons les choses différemment, nous pensons que les choses doivent être présentées telles qu'elles sont", a déclaré M. Tsai.

Pour Francis Lun, de GEO Securities, le montant du rachat du SCMP reflète une motivation politique.

"Contrôler un média local a un coût. L'intérêt économique est douteux", a-t-il déclaré à l'AFP, en expliquant que la couverture de l'information par le SCMP pâtira nécessairement de la proximité entre Pékin et le fondateur d'Alibaba, Jack Ma.
Fondé en 1903, ce journal est reconnu pour sa connaissance de Hong Kong, la colonie britannique rétrocédée à Pékin en 1997, et de la Chine elle-même.

Mais comme bien d'autres titres de presse dans le monde, le SCMP a été frappé par la chute de ses ventes et de ses bénéfices publicitaires, et par des problèmes d'adaptation aux nouvelles technologies.

La question de l'indépendance éditoriale du SCMP se pose depuis son rachat en 1993 par le milliardaire malaisien Robert Kuok, qui a de nombreux intérêts en Chine.
afp/mm
(AWP / 14.12.2015 09h28)

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Re : Alibaba

Cnico a écrit:

Alibaba va débourser 242 mio EUR pour racheter le South China Morning Post

Hong Kong (awp/afp) - Alibaba va débourser l'équivalent de plus de 242 millions d'euros pour racheter le South China Morning Post (SCMP), un montant bien supérieur aux attentes, qui fait craindre pour l'indépendance du quotidien anglophone de référence de Hong Kong.
Des experts avaient évalué le SCMP à la moitié de ce montant. Et pour certains analystes, la somme déboursée par le géant chinois de l'internet reflète sa volonté de contrôler les médias dans l'ancienne colonie britannique.
Alibaba "a accepté d'acheter le secteur média du groupe SCMP pour 2.060,6 millions de dollars hongkongais", a indiqué lundi le SCMP dans un communiqué à la Bourse de Hong Kong.
Le groupe SCMP comprend tout un portefeuille de magazines tels que les éditions de Hong Kong de Elle, Cosmopolitan, Esquire, The PEAK ou Harper's Bazaar.
Le SCMP compte aussi d'autres titres comme son édition dominicale, son édition numérique SCMP.com et des applications de téléphonies mobiles, de même que les deux sites chinois Nanzao.com et Nanzaozhinan.com.

"Avec une expertise reconnue, notamment dans l'internet mobile, Alibaba est en excellente position pour utiliser au mieux la technologie afin de créer du contenu de manière plus efficace et d'atteindre une audience globale", affirmait récemment Robin Hu, PDG de ce journal.
"Notre objectif est d'étendre le lectorat du South China Morning Post à travers le monde grâce à la distribution numérique et un accès plus facile aux contenus", avait commenté quant à lui Joe Tsai, vice-président exécutif du groupe Alibaba.

Le journal continuera à faire preuve d"objectivité, d'exactitude et d'équité" et "aura le courage d'aller à l'encontre des idées reçues", avait assuré M. Tsai dans une lettre aux lecteurs publiée après l'annonce du rachat.

Mais dans un questions-réponses publié sur le site du quotidien, le vice-président d'Alibaba a accusé les médias occidentaux de parti pris contre la Chine.

"De nombreux journalistes travaillant pour les médias occidentaux s'opposent au système de gouvernance en Chine et cela déforme leur couverture. Nous voyons les choses différemment, nous pensons que les choses doivent être présentées telles qu'elles sont", a déclaré M. Tsai.

Pour Francis Lun, de GEO Securities, le montant du rachat du SCMP reflète une motivation politique.

"Contrôler un média local a un coût. L'intérêt économique est douteux", a-t-il déclaré à l'AFP, en expliquant que la couverture de l'information par le SCMP pâtira nécessairement de la proximité entre Pékin et le fondateur d'Alibaba, Jack Ma.
Fondé en 1903, ce journal est reconnu pour sa connaissance de Hong Kong, la colonie britannique rétrocédée à Pékin en 1997, et de la Chine elle-même.

Mais comme bien d'autres titres de presse dans le monde, le SCMP a été frappé par la chute de ses ventes et de ses bénéfices publicitaires, et par des problèmes d'adaptation aux nouvelles technologies.

La question de l'indépendance éditoriale du SCMP se pose depuis son rachat en 1993 par le milliardaire malaisien Robert Kuok, qui a de nombreux intérêts en Chine.
afp/mm
(AWP / 14.12.2015 09h28)

Cordialement,
Docanski

43

Re : Alibaba

Alibaba double ses profits:

http://affaires.lapresse.ca/resultats-f … rofits.php

44

Re : Alibaba

ALIBABA VOIT SES REVENUS S'ENVOLER DE 59%

http://www.lematin.ch/economie/alibaba- … y/25255652

45

Re : Alibaba

Alibaba: bénéfice net divisé par trois au 2e trimestre, charge exceptionnelle
(02.11.2016 / 13:41:13)

Pékin (awp/afp) - Le numéro un chinois de la vente sur internet Alibaba a vu son bénéfice net part du groupe divisé par trois au deuxième trimestre de son exercice décalé 2016, mais a enregistré un bond de 55% de ses ventes.

Le bénéfice net du groupe a perdu 66% sur un an à 1,14 milliard de dollars (7,62 milliards de yuans), pénalisé par une base de comparaison défavorable puisque Alibaba avait fait état au même trimestre de 2015 d'un gain exceptionnel de 2,7 milliards de dollars (18,60 milliard de yuans), lié à la réévaluation de la valeur de sa participation dans une filiale.

Son chiffre d'affaires a en revanche grimpé de près de 55% sur les trois mois s'achevant en septembre, à 5,14 milliards de dollars (34,29 milliards de yuans), mieux que les 5,03 milliards de dollars anticipés, grâce à la forte progression de son segment médias et divertissement et à l'essor de l'informatique dématérialisée ("cloud").

Le résultat ajusté par action, qui fait référence aux États-Unis où l'action Alibaba est cotée, s'est établi pour sa part à 0,79 cents de dollar (5,26 yuans), soit bien au-dessus des 0,69 cents anticipés par le marché.

"Au-delà de la forte performance de nos plateformes de vente en ligne, nous sommes également ravis de la rapide et constante croissance de notre activité dans l'informatique dématérialisée (cloud). Nous voyons également un énorme potentiel dans notre unité nouvellement intégrée dédiée aux contenus numériques et au divertissement", a commenté Daniel Zhang, le PDG du groupe, cité dans un communiqué.

Le mastodonte chinois de l'internet, qui a largement diversifié ses activités, tire néanmoins toujours l'écrasante majorité de ses revenus de ses plateformes de vente en ligne puisque celles-ci ont généré 4,27 milliards de dollars au deuxième trimestre, en hausse de 41% sur un an.

Alibaba, avec sa plateforme Taobao, domine à 90% le marché des échanges de particuliers à particuliers sur l'internet chinois, et sa plateforme Tmall contrôle la moitié des transactions en ligne entre professionnels et particuliers, même si toutes deux voient leurs parts grignotées par une concurrence locale plus acérée.

Ce sont toutefois les revenus tirés des activités du groupe liées aux contenus numériques et au divertissement (via son site de vidéos en streaming Youku Tudou et UCWeb, son navigateur web pour smartphones) qui ont connu la croissance la plus spectaculaire sur un an puisqu'ils ont été multipliés par quatre, à 541 millions de dollars (3,60 milliards de yuans).

Le chiffre d'affaires de son segment dédié à l'informatique dématérialisée (cloud) a pour sa part plus de doublé au deuxième trimestre par rapport à la même période de l'an passé, pour ressortir à 224 millions de dollars (1,49 milliard de yuans).

afp/rp