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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

@ Doc,

il faut reconnaître qu'on est loin de l'harmonie en Europe...
et finalement elle sert bien certains qui ne se gênent pas pour mettre les pays et les travailleurs en concurrence.
encore un débat sans fin sur la pertinence de cette europe là

Cordialement

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

Les mouvements ont été amplifiés par les élections US, j'ai aussi repris une petite ligne d'Engie à 11,87

C'est vrai que le graphique ne donne pas envie mais un dividende brut de plus de 8%, c'est pas courant. Sur le long terme, ca devrait bien se redresser un jour.

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

Manu75 a écrit:

@doc, tu as raison concernant le cash..
Concernant Engie, j'ai opté pour la vente car je ne vois aucun potentiel (cadavres du nucléaire,....)

concernant l'évolution des marchés, j'anticipe encore une grosse correction cette année.(après les dividende probablement)

Suite au discours de Mario hier, l'attitude des marchés était plutôt bizarre.
Les 15 prochains jours seront décisifs pour la suite de l'évolution des marchés.
La hausse du jour se fait dans des volumes ridicules , donc pour moi n'a que peu de valeur.

A mon humble avis, le potentiel de hausse est très limité par rapport au risque de baisse d'où ma position cash.
Les QE ont déjà montré leurs limites, les banques centrales sont à cours de munition et d'arguments, je suis peu confiant pour la suite, pourquoi acheter actuellement quelque chose qui sera peut etre 10-15 % moins cher dans 6 mois ?
L'avenir nous le dira...


voila ce que je disais en date du 11-03-2016 13:09:23
vendu à 14 euro en février, nous sommes 18 % plus bas mais, je ne suis pas toujours prêt d'en racheter....

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

@Manu,

et quel serait ton point d'entrée?
pour au tant que tu trouves un interet a ce titre, bien sur!

cordialement

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

pas d'interet actuel sur le titre, parc nucléraire vieillissant, panne à répétition, reconversion vers le renouvelable, je ne vois pas d'urgence à m'interesser au titre.
Ce n'est qu'un avis et pas un conseil.

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

SocGen a entamé le suivi de la valeur avec une recommandation à " acheter " et un objectif de cours de 15,5 euros.

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

Engie: Bryan Garnier reste à 'achat', abaisse sa cible.

(CercleFinance.com) - Bryan Garnier réaffirme sa recommandation 'achat' sur Engie et abaisse sa valeur intrinsèque ('fair value') de 17 à 15,6 euros, dans le sillage d'un abaissement de ses estimations 2016-18 pour le groupe énergétique.

Après les résultats à neuf mois, l'intermédiaire financier ajuste légèrement ses hypothèses d'EBITDA pour 2016 et au-delà, ainsi que celles sur les minoritaires et les taux d'imposition, ce qui implique une réduction plus sévère de ses prévisions de BPA.

Bryan Garnier s'attend donc désormais à ce que le résultat net récurrent d'Engie se montre globalement stable sur la période (+0,7% concrètement) sur les années 2016-18, alors qu'il anticipait une croissance annuelle moyenne de 3,9% précédemment.

'Néanmoins, nous pensons toujours que le plan de transformation en cours pourrait préparer la voie à une revalorisation significative du titre, avec une cession de l'exploration-production restant le principal catalyseur à court terme', tempère le courtier.

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

Engie inaugure une centrale solaire au Chili

(Boursier.com) - Engie a inauguré la centrale solaire de Los Loros, au Chili, qui totalise 54 MW. L'installation, qui a nécessité 100 millions de dollars d'investissements, comprend 178.200 panneaux installés à Tierra Amarilla, dans la province de Copiapo (Atacama).

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

Engie ajuste les provisions sur ses réacteurs belge

(Boursier.com) - Engie a mené à bien le processus triennal de révision des provisions qui doivent être prises dans le cadre de la loi nucléaire belge sur le démantèlement et la gestion du combustible. Dans un communiqué, les  filialesbelges du groupe en charge du plan (Electrabel et Synatom) indiquent que les provisions à fin 2015 atteignaient 8,4 milliards d'euros, doit 3,6 MdsE pour le démantèlement et 4,7 MdsE pour la gestion des combustibles usagés. Elles seront accrues de 1,8 MdE pour intégrer les nouveaux éléments prévus et un taux d'actualisation qui passe de 4,8 à 3,5%, à inflation inchangée (2%). Engie dispose de sept réacteurs en Belgique. Les conclusions précitées intègrent le prolongement de la durée de vie de Doel 1 et 2 de dix ans. Les nouveaux calculs sont issus du rapport visé par la Commission des provisions nucléaires.

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

Nucléaire et démantèlement  ... Des chiffres provenant d'où on sait prévoir ET compter.... Ils se rapportent à une seule centrale nucléaire, et, comme vous le lisez, rien à charge du citoyen... comparez la sous évaluation ici........ Cadavre du nucléaire disait Manu avec justesse....


BKW revoit à la hausse les coûts de démantèlement de Mühleberg
(15.12.2016 / 08:01:00)

Berne (awp) - BKW assure avoir déjà provisionné un montant de 3,06 mrd CHF pour couvrir les coûts liés à la désaffectation prévue en 2019 et l'élimination des déchets de la centrale nucléaire de Mühleberg. Ceux-ci ont été revus à la hausse de 9,4% depuis la dernière estimation, en raison notamment de la prise en considération de risques supplémentaires, ainsi que par des retards dans la planification du stockage en couches géologiques profondes des résidus radioactifs, précise l'énergéticien bernois mercredi.

Les anciennes Forces motrices bernoises assurent que ces frais supplémentaires n'entraîneront aucune correction de valeur supplémentaire, grâce au report de l'échéance pour les coûts liés au stockage final. La durée de vie des installations doit permettre d'obtenir un produit financier du fonds de désaffectation nettement plus élevé, indique le communiqué.

BKW continuera à verser quelque 18 mio CHF par an au fonds de désaffectation pour Mühleberg et assumera l'entier des coûts liés à la post-exploitation du projet de démantèlement.

Ce dernier devis compilé par BKW pour l'abandon de Mühleberg doit encore être étudié par des experts indépendants ainsi que par l'Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN), dont le verdict est attendu en 2018.

L'Office fédéral de l'énergie (OFEN) indique parallèlement que la commission administrative du fonds pour la désaffectation des installations nucléaires et du fonds de gestion des déchets nucléaires provenant des centrales nucléaires (Stenfo) a reçu de Swissnuclear, section dédiée de Swisselectric, son étude de coûts 2016.

jh/buc

Dernière modification par PhilM (15-12-2016 09:10:02)

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

Engie: voudrait reprendre le contrôle de Suez.

(CercleFinance.com) - La rumeur d'un rapprochement entre Engie et son ex-filiale toujours détenue à 33%, Suez, est de retour : selon BFM TV, la patronne opérationnelle de l'ex-GDF Suez, Isabelle Kocher, ?mûrit depuis plusieurs mois? ce projet.

BFM TV évoque un scénario de ?reprise de contrôle? de Suez de la part d'Engie, qui ?décidera de l'avenir de Suez après l'élection présidentielle et d'ici fin 2018?.

La chaîne d'information économique croit savoir qu'Isabelle Kocher a préparé le terrain politique, l'une des dimensions des deux entreprises, en rencontrant cet été les principaux candidats des primaires de la droite et du centre, dont François Fillon. L'Etat détient en effet le tiers du capital d'Engie.

En raison de son intensité capitalistique, l'énergéticien Engie n'aurait pas l'intention de garder l'une des grandes divisions de Suez, Sita, chargée des déchets.

Restent des inconnues de taille : la direction d'Engie ne soutiendrait pas unanimement le projet d'Isabelle Kocher, et Veolia pourrait aussi avoir une carte à jouer.

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

Engie: Bryan Garnier reste à 'achat' après la rumeur Suez.

(CercleFinance.com) - Bryan Garnier réaffirme sa recommandation 'achat' et sa valeur intrinsèque ('fair value') de 14,8 euros sur Engie, revenant sur des rumeurs selon lesquelles le groupe énergétique pourrait envisager un rachat de Suez, dont il détient 33,7% du capital.

S'il juge une telle opération 'improbable à court terme, dans la mesure où les deux groupes sont profondément impliqués dans leurs programmes de restructuration jusqu'en 2018', le broker a tenté d'en modéliser les implications potentielles.

'Tandis que le ratio dette nette sur EBITDA monterait significativement, nous estimons qu'un rachat serait relutif sur le BPA d'Engie, sur l'hypothèse qu'aucune augmentation de capital ne serait lancée pour le financer', indique Bryan Garnier.

Selon l'intermédiaire financier, le schéma 'idéal' (acquisition et cession de l'activité déchets) impliquerait, toutefois, une exposition accrue à l'activité eau en France, dont les fondamentaux ne semblent pas bien orientés.

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

ENGIE cède sa centrale de production d’électricité Polaniec à Enea

https://www.euronext.com/fr/cpr/engie-c … C3%A0-enea

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

Engie relève ses provisions sur son parc nucléaire en Belgique

Nouvelle tuile pour Engie. Pour tenir compte de la faiblesse des taux d’intérêt, les autorités belges obligent le producteur d’électricité à réduire le taux d’actualisation utilisé pour le calcul de ses provisions nucléaires.

L’énergéticien va augmenter de 1,8 milliard d’euros ses provisions pour couvrir le financement du démantèlement futur de ses installations nucléaires en Belgique et la gestion de l’aval du cycle du combustible

Judith Hartmann, directrice financière d’Engie avait mis en garde les investisseurs sur ce point en novembre dernier lors de la publication des comptes trimestriels du groupe.

Elle avait alors rappelé que la révision triennale des provisions pour le nucléaire, prévue par la loi belge du 11 avril 2003, aurait lieu en fin d’année. Compte tenu de la faiblesse des taux d’intérêt, il était donc raisonnable d’anticiper une révision en baisse du taux d’actualisation, conduisant ainsi à une augmentation du montant de la provision. Selon la dirigeante, il faut ajouter environ 110 millions d’euros aux provisions chaque fois que le taux d’actualisation baisse de 10 points de base. Quant à l’impact sur le bénéfice net courant part du groupe pour 2017, il s’élève à environ 10 millions d’euros là aussi pour une variation de 10 points de base.

Dans son avis rendu le 12 décembre, la Commission des Provisions Nucléaires (CPN) a effectivement abaissé le taux d’actualisation qui passe de 4,80% (à fin 2015) à 3,50% (à fin 2016) avec un taux d’inflation inchangé de 2%.

Ainsi pour 130 points de base de baisse, l’effet est de 1,4 milliard d’euros sur les provisions et de 130 millions sur le résultat net courant 2017.

Au final, le montant total des provisions communiqué par Engie, 1,8 milliard d’euros, intègrerait selon nous une modification du scénario industriel pour environ 400 millions d’euros.

Par l’intermédiaire de sa filiale Electrabel, Engie détient et fait fonctionner sept réacteurs nucléaires en Belgique pour une capacité totale de 5,9 gigawatts, soit 8% environ des capacités totales du groupe.

En réaction à cette annonce, plusieurs analystes ont ajusté leurs anticipations de bénéfice net par action pour les deux prochains exercices. L’augmentation des provisions pour démantèlement n’aura pas d’impact sur le résultat 2016. Ainsi l’anticipation médiane de bénéfice net par action recule à 0,98 euro pour 2017 et à 1,02 euro pour 2018.

De son coté, Moody’s n’a pas modifié son rating. L’agence de notation financière maintient sa note de dette à long terme à A2 avec une perspective stable. Néanmoins, elle juge que l’augmentation des provisions nucléaires affaiblira les ratios d’endettement du groupe dont la dette nette ajustée s’élevait à 44,9 milliards d’euros à fin 2015. Ce montant calculé par Moody’s intègre la dette financière nette de 29,9 milliards et les autres engagements du groupe.

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Re : ENGIE (ex GDF Suez)

Engie pourrait devoir rembourser au Luxembourg au moins 300 millions d'euros d'impôts


BRUXELLES (Dow Jones)--Engie (ENGI.FR) pourrait devoir rembourser au Luxembourg au moins 300 millions d'euros d'impôts non versés si la Commission européenne juge que ses accords fiscaux avec le Grand-Duché sont contraires aux règles de l'Union européenne sur les aides publiques, selon de nouvelles précisions publiées jeudi.
Ce montant est calculé à partir des informations données dans une version publique de la décision de la Commission d'enquêter sur le traitement fiscal dont bénéficie le groupe français au Luxembourg.
Bruxelles a ouvert en septembre une enquête "approfondie" à l'encontre d'Engie concernant le traitement fiscal accordé par le Luxembourg au groupe énergétique, détenu à 32,8% par l'Etat français. La Commission avait alors indiqué que plusieurs rescrits fiscaux ("tax rulings") du gouvernement semblaient permettre au groupe de réduire sa facture fiscale sur les bénéfices réalisés dans le pays.
"La Commission craint que plusieurs décisions fiscales anticipatives émises par le Luxembourg aient potentiellement conféré à GDF Suez un avantage injustifié par rapport à d'autres sociétés", avait expliqué l'institution dans un communiqué.
La Commission a publié jeudi une version publique de sa décision, après avoir supprimé du texte définitif certaines informations sensibles, "couvertes par le secret professionnel".

Réduction de l'assiette fiscale

L'enquête porte sur deux emprunts convertibles en actions à taux zéro réalisés en 2009 et en 2011 entre plusieurs sociétés d'Engie basées au Luxembourg. Selon la Commission, les deux transactions financières ont été traitées d'un point de vue fiscal à la fois comme des emprunts et comme des prises de participation.
"Ce traitement fiscal entraîne de toute évidence une double non-imposition, du côté des prêteurs et des emprunteurs, de bénéfices générés au Luxembourg", a expliqué Bruxelles.
"Au final, il semble qu'une part significative des bénéfices enregistrés [par le groupe] au Luxembourg par l'intermédiaire de ces deux montages ne soit pas imposée du tout".
Le communiqué de la Commission montre que ces accords fiscaux ont pu permettre à Engie de réduire son assiette fiscale d'environ 1,1 milliard d'euros. Les autorités fiscales luxembourgeoises auraient pu récupérer sur ce montant près de 300 millions d'euros si ces bénéfices avaient été soumis au taux officiel d'imposition des entreprises de près de 29%.
Bruxelles a précisé que l'enquête se poursuivait et que les montants définitifs pouvaient encore être modifiés en fonction des informations supplémentaires reçues. La Commission a ajouté qu'aucune échéance n'avait été fixée pour boucler cette enquête.
Une porte-parole d'Engie a indiqué que le groupe français communiquerait avec la Commission européenne et le gouvernement luxembourgeois, mais qu'il ne ferait aucune déclaration publique sur cette affaire.
Le Luxembourg a de son côté déclaré jeudi que ces allégations étaient infondées, ajoutant avoir bon espoir de "convaincre la Commission en temps voulu qu'aucun traitement fiscal particulier ou avantage sélectif n'a été accordé aux sociétés du groupe Engie au Luxembourg".
L'enquête sur Engie a été ouverte quelques semaines après que la Commission européenne a demandé à l'Irlande de récupérer environ 13 milliards d'euros d'avantages fiscaux accumulés par Apple (AAPL), une décision qui a intensifié la querelle entre l'Union européenne et les Etats-Unis au sujet des enquêtes fiscales menées dans l'UE sur des groupes américains.
Bruxelles avait rétorqué que des entreprises européennes se trouvaient également dans le collimateur de la Commission, dont Engie et Fiat Chrysler Automobiles (FCA.MI).
En octobre 2015, la Commission a demandé au Luxembourg de récupérer entre 20 et 30 millions d'euros d'impôts dus par la branche de financement de Fiat.
Le Grand-Duché a durci à la fin décembre sa réglementation fiscale vis-à-vis des pôles de financement de multinationales basés au Luxembourg, sur la liste desquels figure l'une des sociétés d'Engie concernées par l'enquête. A compter du 1er janvier, les rescrits fiscaux émis précédemment ne sont plus opposables au fisc luxembourgeois, ce qui signifie que de nombreux accords pourraient devoir être renégociés.

-Natalia Drozdiak, The Wall Street Journal