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Re : Recommandations des analystes pour 2017

you can....

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

Yes we can ;-)

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

même goldman qui tire quelques ficelles n'est pas dans les bons élèves...

Pas facile le jeu des prédictions. Le suspens reste entier pour le concours boursomania!

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

Les valeurs préférées de KBC Securities pour 2017 sur les marchés du Benelux :

AB Inbev
Aedefica
Ahold Delhaize
Beter Bed
Biocartis
Econocom
Galapagos
Immobel
NN Group
Nyrstar
Orange Belgium
Refresco
SBM Offshore
TKH Group

Cordialement,
Docanski

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

et pour vous, chers boursomaniaques, quelles sont vos prévisions 2017 ? moi perso je vais rester dans du défensif un maximum pour éviter les turbulences politiques autant que faire se peut ...

Dernière modification par Jérôme (02-02-2017 15:27:31)

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

Jérôme a écrit:

et pour vous, chers boursomaniaques, quelles sont vos prévisions 2017 ?

Ben elles sont citées dans la partie privée de notre forum ! Il suffit de consulter les valeurs préférées de nos membres les plus actifs pour 2017 et de s'en inspirer éventuellement.
En effet, force est de constater que sur la moyenne, nos prévisions sont bien plus justes que celles publiées par les "professionnels" ...

Cordialement,
Docanski

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

Perso, j'y ajouterais une phrase connue :
"La pensée la plus coûteuse en Bourse, c'est : This time it's different..." ......


Joyeux Noël et Bonne Reflation!

Posted on décembre 19, 2016 by Fabrizio Quirighetti - Etudes de sociétés
Ce texte a été publié le lundi 19 décembre dans le journal Le Temps.

Je ne sais pas si vous l’avez remarqué mais c’est Noël avant l’heure. Pas seulement dans les magasins où les bourses se délient, mais aussi sur les marchés où les bourses flambent. Dorénavant rien ne semble plus arrêter la déferlante haussière qui s’est abattue sur les Etats-Unis suite à l’élection de Donald Trump. Cette dernière touche maintenant également l’Europe et même le Japon. Aux oubliettes les risques politiques, l’éventuelle crise bancaire en Italie, la bulle du crédit en Chine ou la spirale déflationniste qui guettait le monde au début de l’année!

En cette période de fêtes, les investisseurs (inclus votre humble serviteur) ont envie d’y croire… A la magie de Trump et de ses cadeaux fiscaux, de ses beaux projets d’infrastructures et du cash déposé à l’étranger qu’il ramènera par milliards dans les chaussettes des citoyens américains. Et oui, nous ne sommes finalement que de grands enfants!

Liste d’investissements à mettre sous le sapin

Et comme chaque enfant, nous avons également préparé notre liste d’investissements à mettre sous le sapin. Elle est assez simple et s’articule essentiellement autour du thème de la reflation: acheter tout ce que vous ne vouliez absolument pas recevoir l’année passée. Des actions, surtout des européennes maintenant, de préférence des bancaires et des valeurs cycliques, quelques obligations émergentes, une bonne dose de dette pourrie et surtout pas d’obligations à long terme ou d’actions qui coûtent trop chères. Evidemment il faut se dépêcher et en profiter à fond car, comme c’est souvent le cas avec la mode, les jouets ou les investissements, cela ne durera qu’un temps.

En effet, je crains déjà la fin de l’année prochaine… où nous devrons nous rendre à l’évidence que le Père Noël, tout comme la reflation, n’existe pas ou plus. Et la déception sera d’autant plus grande que la conviction est dorénavant forte sur les marchés, à l’aune de la remontée en flèche des taux longs et de l’appréciation du dollar. Optimisme béat et naïveté presque touchante qui, paradoxalement, en durcissant les conditions financières, plantent déjà les graines du prochain ralentissement économique à venir.

La même histoire qui recommence

Car comme à chaque fois que nous pensons être sortis d’affaire, que la croissance nominale va accélérer et que les banques centrales normaliseront bientôt leur politique monétaire, c’est la même histoire qui recommence… Le poids du surendettement, le vieillissement de la population et des gains de productivité en berne nous ramènent implacablement à la dure réalité de la répression financière: les taux resteront bas encore longtemps. En attendant les lendemains qui déchantent, Joyeux Noël et Bonne Reflation à tous!

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

http://www.lecho.be/les_marches/actu_ac … 4-3459.art

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

http://nsa38.casimages.com/img/2016/12/20/161220053845380599.png

on ne peut pas toujours avoir raison... et pour l'année prochaine.

http://nsa37.casimages.com/img/2016/12/20/16122005361542073.png

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

Bourses 2017 : les actions préférées de Credit Suisse

Le stratège de la banque suisse, Andrew Garthwaite, prévoit un début d'année encore favorable aux actions, mais un second semestre plus difficile. Il privilégie les actions européennes et japonaises.

Andrew Garthwaite, du Credit Suisse, a augmenté en début de mois son objectif sur le SP 500 pour la mi-2017, de 2.200 à 2.350 points (soit un potentiel de 3,8% sur le dernier cours). Le stratège vise un Eurostoxx 50 à 3.350 points pour la mi-2017(+2,5%) et un Nikkei 225 à 20.000 (+3%).

Le principal soutien aux actions viendra, selon le stratège, de la surexposition des investisseurs aux actifs protégeant de la déflation, les obligations, alors qu’ils restent sous-exposés aux actifs protégeant contre l’inflation : les actions.

Encore trop d'obligations dans les portefeuilles

Cela au moment où les politiques publiques s’éloignent des taux d’intérêt négatifs en faveur des relances budgétaires et des baisses d’impôts, ce qui alimente les prévisions d’inflation. 

D’autres soutiens aux actions viennent de l’évolution des anticipations de profits d’entreprises, au plus haut depuis cinq ans, d’une prime de risque encore élevée, d’un excès de liquidités et d’une meilleure dynamique de croissance. 

Les entreprises américaines devraient poursuivre leurs achats d’actions, alors qu’elles disposent de 750 milliards de dollars de cash à l’étranger, que 20% d’entr eelles affichent une dette nette inférieure à une fois l’excédent brut d’exploitation et que le private equity dispose d’une force de frappe estimée à 1.400 milliards.

Le stratège met toutefois en garde contre un second semestre moins favorable, avec un objectif de fin d’année à 2.300 points sur le SP 500. Le principal impact négatif sur les marchés viendrait d’une remontée du rendement du bon du Trésor américain à dix ans au-delà de 3%, d’une politique monétaire devenue moins expansionniste en Europe et au Japon à l’horizon du quatrième trimestre 2017.

L’objectif de fin 2017 est à 3.300 points sur l’Eurostoxx 50, soit un potentiel de 1% sur le niveau actuel et de 3,5% en tenant compte des dividendes. 

Plus de risques en fin d'année

D’autres facteurs pèseraient sur la Bourse comme la hausse des salaires aux Etats-Unis dommageable aux marges de profits et le risque d’un recentrage de la politique chinoise sur les réformes au détriment des politiques de croissance. 

La durée de vie du marché haussier aux Etats-Unis ne plaide pas non plus pour une poursuite du mouvement haussier. Le « bull market » a démarré en février 2009 et dure depuis 92 mois, avec une hausse du SP 500 de 187%. Depuis plus d’un siècle, seuls deux marchés haussiers ont duré plus longtemps : 95 mois d’août 1893 à juin 1901, avec un gain de 96%, et 139 mois entre septembre 1988 et mars 2000, pour une hausse de 280%.

Credit Suisse prévoit une légère accélération de la croissance mondiale en 2017. La banque privilégie les actions européennes, avec une préférence pour l’Allemagne (le marché le plus sensible à la baisse de l’euro qui profite le plus des taux bas, les actions sont bon marché).

En zone euro, la demande domestique accélère, les prêts bancaires sont mieux orientés, les exportations vers la Chine et la Russie repartent, l’euro est sous-évalué.

Les investisseurs ont « capitulé » avec 39 semaines de sorties nettes de capitaux dans les fonds investis en actions européennes, et deux tiers des souscriptions réalisées en 2015 déjà parties. Le « sentiment » sur les actions européennes est au plus bas historique. Le risque politique, en Italie et en France, parait pourtant surestimé aux yeux du stratège.     

La banque apprécie aussi les actions japonaises, portées par la meilleure dynamique de la croissance mondiale et par des flux positifs de la part des entreprises et de la banque centrale.

L’établissement a réduit sa forte exposition sur les Bourses émergentes, avec une préférence pour la Chine, la Corée du Sud, le Brésil, la Russie et l’Indonésie. Il est devenu négatif sur le marché britannique.

Credit Suisse maintient son avis négatif sur les actions américaines, pénalisées par la hausse du dollar et des taux d’intérêt, et par une valorisation relative au plus haut. La banque est aussi réservée sur les valeurs suisses et néerlandaises (jugées trop chères). 

Les actions allemandes et espagnoles sont appréciées

La banque suisse favorise les actions allemandes Deutsche Wohnen (immobilier), Deutsche Telekom, Fresenius Medical Care, SAP, des valeurs françaises Crédit Agricole, Elior, Orpea, Pernod Ricard, Rémy Cointreau, Technip, Vinci (dont certaines pouvant bénéficier d’une réforme du marché du travail), des actions espagnoles comme Endesa, Iberdrola, Jumbo, des italiennes comme Enel ou Saras.

Au Japon, Credit Suisse favorise des titres comme Toray Industrials, Mitsui Chemicals, Kose, Morinaga, Toshiba, Sony, Suzuki Motor.   

Credit Suisse a aussi un avis positif sur des actions de sociétés affichant une forte exposition aux pays émergents : Bureau Veritas, Nokia, Vodafone, Airbus Group, Diageo, Philips, L’Oreal, Reckitt Benckiser, Casino, Dassault Systèmes, Prysmian, Sanofi, Activision Blizzard, Pfizer, Citigroup.

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

Vidéo sur les perspectives économiques et boursières 2017 sur le site d'ING:
https://www.ing.be/fr/retail/financialnews

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

Bourse 2017 : la sélection européenne d’UBS

Les stratèges de la banque suisse sont favorables aux actions européennes, portées par la hausse des profits attendue l'an prochain. Ils mettent en avant six thématiques à privilégier et les actions à acheter.

Nick Nelson et Karen Olney chez UBS sont convaincus que 217 est une fenêtre d’opportunité pour les actions européennes.

Les stratèges prévoient une croissance de 8% des profits d’entreprises l’an prochain (la première en six ans), soutenus par une évolution plus favorable des matières premières (le pétrole aura quasiment doublé depuis un an début 2017), une reprise de l’inflation et un redressement des marchés émergents.

Le momentum des profits attendus s’est redressé en Europe depuis octobre pour la première fois en seize mois, anticipant de six mois une croissance des chiffres d’affaires. Et le troisième trimestre 2016 a enregistré la meilleure publication comparée aux attentes depuis cinq trimestres.

Hausse des profits attendue l'an prochain

Parmi les soutiens aux actions européennes, UBS évoque des mesures de relance budgétaire, une possible hausse des multiples de valorisation, favorisée par des rachats d’actions et des OPA, et le retour des investisseurs américains.

Des pesanteurs  viendraient, en revanche, d’une hausse trop marquée des taux d’intérêt réels (hors inflation) provoquée des ventes agressives d’obligations, d’une restriction trop rapide de la politique monétaire de la BCE, des besoins en capitaux du secteur bancaire et du calendrier politique.

Le PER calculé sur les profits à douze mois des actions européennes est proche de sa moyenne à long terme, mais sur un niveau de profits fortement déprimé. Ajustées du cycle, les valorisations sont estimées avec une décote de 15% environ.

Hausse du pétrole et des taux

UBS met en avant six thématiques d’investissement avec pour chacune d’entre elles des valeurs à acheter :

Premier thème : le cycle des matières premières devient plus favorable, avec Hexagon, Enel, Royal Dutch Shell, Eni, Petrofac, Basf, Rangold, Glencore.

Deuxième thème : la relance budgétaire et les dépenses d’infrastructures avec Hexagon, Enel, CRH, Rio Tinto, Glencore, Alstom, Vinci, BAE Systems, Legrand.

Troisième thème : le levier opérationnel porté par une meilleure conjoncture avec  Generali, ING Groep, Intesa Sanpaolo, Capgemini, Worldpay, Vodafone, Deutsche Telekom, EDP, Eni, Basf, Lanxess, Vinci, G4S, Daimler, Renault, Valeo, Tesco, Roche.

Quatrième thème : le financement bon marché et l’effet de levier avec Hufvudstaden, Vodafone, Deutsche Telekom, Enel, Legrand, Roche, Groupe Eurotunnel, Telefonica, Arcelormittal.

Cinquième thème : le rendement élevé du dividende avec Generali, ING Groep, Vodafone, Deutsche Telekom, EDP, Royal Dutch Shell, Eni, Basf, Rio Tinto, Legrand, Daimler, BSkyB, Imperial Tobacco, Roche.

Sixième thème : la "value" avec Vodafone, Enel, Royal Dutch Shell, Eni, Vinci, Renault.

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

Enfin des gens avec une vision large, diversifiée et internationale !!
Enfin une prévision qui mérite qu'on l'examine avec beaucoup d'attention....

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

Eh ben dis donc ça en fait des valeurs... ce sont des suisses.

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Re : Recommandations des analystes pour 2017

Les 10 convictions de Portzamparc pour le premier semestre 2017

La société de Bourse nantaise a toujours du flair pour dénicher les midcaps à fort potentiel. Sa célèbre Shortlist accumule les performances depuis de nombreuses années.

Si l’on met de coté quelques mauvaises années comme 2007, 2008 et 2011, l’indice Cac Mid & Small des petites et moyennes valeurs a pris l’habitude de surperformer le CAC 40. Cette année encore, il devrait dépasser l’indice des grandes valeurs de 2% tandis que les anticipations de bénéfice net par action pour 2017 sont attendus en hausse de 25% contre un gain de 7,5% pour le CAC 40.

Spécialiste de cet univers de valeurs, le bureau d’étude de Portzamparc à Nantes a récemment dévoilé ses convictions pour le premier semestre 2017. Une piste intéressante à suivre sachant que la liste du second semestre 2016 a gagné 24%.

Dix sociétés au potentiel de croissance en hausse pour 2017

Akka technologies, un des leaders européens du conseil en technologies, a une forte présence dans les domaines de l’automobile et de l’aéronautique. La société devrait connaître une progression de sa profitabilité. Les dirigeants visent une marge opérationnelle courante comprise entre 8 et 10% en 2018.

Bastide, le multi-spécialiste de l'assistance médicale, conserve une valorisation attrayante compte tenu de ses ambitions de croissance.

Bourbon, impliqué dans les services maritimes à l’offshore pétrolier, devrait profiter des premiers signes de reprises du marché. Et sa valorisation est inférieure à son actif net.

Chargeurs, numéro un mondial du négoce de laine haut de gamme, a plusieurs cordes à son arc. La société associe une faible valorisation à un rendement généreux.

Fountaine Pajot et ses catamarans de croisière devrait bénéficier de l’amélioration de sa rentabilité sur un marché en croissance.

Ipsen occupe le troisième rang de l’industrie pharmaceutique en France. La croissance des ventes est porteuse, surtout aux Etats-Unis, tandis qu’un nouveau produit dans le traitement du cancer du rein nourrit de grands espoirs.

Le Noble Age exploite des maisons de retraite en France tout en externalisant le parc immobilier. Portzamparc apprécie les performances d’exploitation ainsi que la maîtrise de la croissance externe.

MGI Coutier, équipementier automobile de rang 1, est encore détenu à 69% par la famille fondatrice. Les perspectives de croissance et la progression attendue des marges ne sont pas encore bien valorisées. L’action garde du potentiel.

Teleperformance est le leader mondial de centres d’appels externalisés. Le groupe gagne des parts de marché tout en maîtrisant sa stratégie de croissance externe.

Witbe propose à ses clients des solutions de contrôle et de mesure de la qualité des services fonctionnant sur IP. Son potentiel de croissance est important et la profitabilité peut encore être améliorée.