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Re : Shell

15 $ chez Bolero. Je n'achète et ne vend qu'une fois.

Luc

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Re : Shell

@Manu75,
Vouais, ils prélèvent la TOB et le pré-compte ou faut tout déclarer laborieusement soi-même?

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Re : Shell

Shell: Credit Suisse relève son objectif de cours.

(CercleFinance.com) - Credit Suisse réaffirme son opinion 'surperformance' sur Shell et relève son objectif de cours de 2150 à 2325 pence, au lendemain de la publication de résultats jugés 'rassurants, et peut-être plus normaux', au titre du troisième trimestre.

Le bureau d'études souligne notamment que l'intégration de BG est maintenant essentiellement achevée et que les coûts opérationnels ont été abaissés de neuf milliards à environ 40 milliards de dollars, des réalisations avec un trimestre d'avance sur le plan.

Il met aussi en avant le démarrage de productions de barils à fortes marges(Kashagan), ainsi que des cessions d'actifs significatives en 2016, cessions importantes pour le bilan et pour créer un portefeuille plus simple et recentré.

Credit Suisse justifie le relèvement de son objectif de cours par un ajustement des hypothèses de changes, qui a plus que compensé un abaissement récent de sa prévision à plus long terme pour les cours du pétrole (de 70 à 65 dollars le baril de Brent).

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Re : Shell

Shell: UBS conseille aussi d'acheter l'action de classe B.

(CercleFinance.com) - UBS a ?complété? ce matin son suivi de la 'major' anglo-néerlandaise Royal Dutch Shell.
Le bureau d'études, qui conseillait déjà d'acheter l'action de classe A du groupe pétrolier, préconise désormais de faire de même avec le titre de classe B, qui précédemment n'était pas suivi.
L'objectif de cours à 12 mois est fixé à 2.250 pence.

A la Bourse de Londres, l'action Shell ?B? cote 2.123 pence (+ 1,1%), le titre ?A? progressant de même à 2.036 pence.

Un peu d'histoire : l'action Shell B, l'ex-Shell Transport & Trading, est cotée à titre principal à Londres, et à titre secondaire à Amsterdam.
Fin octobre, les actions de classe B représentaient 46% du capital du groupe. Les intérêts économiques auxquels exposent les deux valeurs sont identiques,
rappelle la note d'UBS.

Avec une petite différence : les actions Shell B sont considérées, du point de vue des dividendes, selon le droit britannique et non suivant celui des Pays-Bas. En conséquence, alors que les coupons des actions A sont frappés de la retenue néerlandaise à la source de 15%, tel n'est pas le cas de ceux de l'action B.

Par ailleurs, l'argumentation d'UBS est en toute logique identique à celle déjà développée pour le titre A : Shell a fait en sorte d'organiser son modèle pour qu'il soit financièrement viable avec un baril de brut sous 50 dollars, indique une note, en couvrant investissements et dividendes par le cash flow.

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Re : Shell

LONDRES (Reuters) - Royal Dutch Shell (AS:RDSa) envisage de vendre ses participations dans des gisements de pétrole en Irak dans le cadre de son programme de cessions d'actifs de 30 milliards de dollars (28 milliards d'euros), a-t-on appris lundi auprès des sources du secteur.

Le géant pétrolier anglo-néerlandais, qui a finalisé en février le rachat de BG Group pour 54 milliards de dollars, tente de rationaliser son vaste portefeuille pétrolier et gazier.

Avec la chute des cours de l'or noir depuis leur pic de juin 2014, Shell souhaite se concentrer sur les secteurs d'activité offrant de meilleurs rendements comme le gaz naturel liquéfié et la production de pétrole en eaux profondes au Brésil et dans le golfe du Mexique.

Un porte-parole de Shell à Londres s'est refusé à tout commentaire.

Le groupe anglo-néerlandais, présent en Irak depuis plus d'un siècle, n'a enregistré que des bénéfices limités ces dernières années de sa participation à la production pétrolière dans le pays, ont dit les sources. Shell est payé en pétrole brut en Irak et dispose de peu de pouvoir sur la stratégie de production, ont-elle ajouté.

Shell juge en revanche utile de développer ses activités gazières en Irak et n'est pas intéressé par une vente de ces actifs, ajoutent les sources.

L'Irak représentait environ 4,4% de la production totale de pétrole et de gaz de Shell en 2015, selon le rapport annuel du groupe.

(Ron Bousso et Dmitry Zhdannikov; Claude Chendjou pour le service français, édité par Véronique Tison

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Re : Shell

Pétrole et gaz: protocoles d'accord entre Total et Shell en Iran


Téhéran - Le groupe français Total et le Néerlandais Shell doivent signer mercredi à Téhéran des protocoles d'accord dans le secteur pétrolier et gazier, a annoncé à l'AFP un responsable du ministère iranien du Pétrole.

Ces protocoles portent sur l'extension du champ pétrolier d'Azadegan-Sud pour un montant de 10 à 12 milliards de dollars, ainsi qu'un autre projet sur le champ de Yadavaran, tous les deux situés dans le sud-ouest de l'Iran.

Ces protocoles portent également sur l'exploitation offshore d'un champ gazier de l'île de Kish, située dans le Golfe (sud).

La répartition de ces projets entre Total et Shell n'a pas été précisée par le responsable du ministère du Pétrole, qui s'exprimait sous couvert d'anonymat.

Total avait déjà signé début novembre à Téhéran un accord de 4,8 milliards de dollars pour l'exploitation en Iran du grand champ gazier Pars-Sud, devenant la première grande compagnie occidentale du secteur pétrolier et gazier à revenir dans ce pays depuis la levée des sanctions internationales en janvier.

Ce retour en Iran de grands groupes étrangers, rendu possible par l'accord nucléaire conclu mi-2015 entre Téhéran et six grandes puissances, a été critiqué par certains acteurs économique iraniens.

Le dirigeant d'un important groupe économique sous contrôle des Gardiens de la révolution, l'armée d'élite iranienne, avait ainsi qualifié fin octobre de honte le fait qu'un secteur comme le pétrole puisse dépendre d'entreprises étrangères.

sgh-neg-stb/feb/mcj

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Re : Shell

Shell vend une partie australienne

LONDRES (Reuters) - Shell vend Shell Aviation Australie, qui fournit des services à l'aviation, Viva Energy Australia pour environ 250 millions $. Cela fait du pétrole et du gaz lundi.

La transaction fait suite à la vente d'autres activités de raffinage et de commercialisation (en aval) de Shell Viva Energy en Australie en 2014. Le contrat actuel devrait être finalisée mi année prochaine, sous réserve de l'approbation réglementaire.
Le logo Shell restera visible après la vente. Viva vend autorisé tous les lubrifiants et les carburants sous la marque Shell.

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Re : Shell

Analyse Leleux:

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Re : Shell

Shell: RBC Capital Markets relève son opinion.

(CercleFinance.com) - Tout en maintenant son objectif de cours à 2.500 pence,
RBC Capital Markets relève son opinion sur Royal Dutch Shell de 'performance de secteur' à 'surperformance', citant une meilleure vision sur la dette nette qui va selon lui commencer à reculer.

Dans une note de recherche, il déclare que les récents accords de production entre pays exportateurs de pétrole ont placé le marché de l'or noir 'sur des bases bien plus solides', enlevant une épine du pied de la compagnie anglo-néerlandaise.

'Nous voyons du potentiel pour Shell de surperformer ses pairs car il peut continuer de réaliser son programme de désinvestissements tout en générant une croissance consistante de son cash-flow', juge l'intermédiaire financier.

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Re : Shell

Shell: vend des actifs de mer du Nord pour 3,8 milliards.

(CercleFinance.com) - Royal Dutch Shell annonce ce matin la cession de plusieurs actifs situés en mer du Nord pour un montant total allant jusqu'à 3,8 milliards de dollars, soit un peu plus de 3,5 milliards d'euros au cours du jour.

Dans le détail, précise la major pétro-gazière anglo-néerlandaise, le périmètre de la cession comprend ses intérêts dans les champs de 'Buzzard, Beryl, Bressay, Elgin-Franklin, J-Block, le 'cluster' de Greater Armada, Everest, Lomond et Erskine, ainsi que la participation de 10%  dans Schiehallion.' Soit une production cumulée de 115.000 barils d'équivalent-pétrole/jour (en part Shell). 

L'opération, qui comprendra le transfert d'environ 400 salariés et devrait être bouclée au second semestre 2017, devrait se solder par la constatation d'une plus-value non précisée, indique Shell. L'acquéreur est Chrysaor, société spécialisée dans la valorisation d'actifs pétro-gaziers matures.

Le directeur financier de Shell, Simon Henry, inscrit cette opération dans le cadre de son programme de cessions de 30 milliards de dollars, ainsi que dans sa stratégie de qualité et de simplification du portefeuille d'actifs à la suite de l'acquisition de BG Group.

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Re : Shell

Royal Dutch Shell: le bénéfice net double en 2016 grâce aux réductions de coût
(02.02.2017 / 09:06:59)

Londres (awp/afp) - Le géant pétrolier Royal Dutch Shell a annoncé jeudi que son bénéfice net avait plus que doublé au cours de l'année 2016, soutenu par un programme de réduction de voilure drastique sur fond de marasme des cours du pétrole.

Lors de l'année écoulée, la major anglo-néerlandaise a dégagé un bénéfice net de 4,58 milliards de dollars (4,23 milliards d'euros).

Les comptes de 2016 ont intégré l'absorption du groupe britannique d'hydrocarbures BG, acquis il y a un an et puissant notamment dans le secteur du gaz naturel liquéfié (GNL).

Parallèlement à cette acquisition, Shell s'est lancé dans un vaste programme de réduction des dépenses et de cession, sur fond de marasme des cours du pétrole ces trois dernières années.

Son directeur général, Ben van Beurden, a souligné ainsi que le groupe avait engagé sur la seule année dernière des cessions portant sur pas moins de 15 milliards de dollars - sur un total de 30 milliards de dollars de ventes visées d'ici à 2018.

"Nous faisons tourner l'entreprise à un coût ajusté inférieur de 10 milliards de dollars à ce que Shell et BG combinés représentaient il y a 24 mois", a mis en exergue M. van Beurden.

Le chiffre d'affaires de Royal Dutch Shell (y compris celui tiré des coentreprises) a en conséquence baissé de 32 milliards de dollars l'an passé, ou quelque 12%, à 240 milliards de dollars. Mais dans le même temps, les dépenses totales du groupe ont fondu de plus de 35,5 milliards de dollars, ou 13%, à 234,4 milliards de dollars.

In fine, le bénéfice avant impôt de la major a presque triplé, à 5,6 milliards de dollars, ce qui lui a permis d'afficher un bénéfice net bien meilleur.

Son bénéfice annuel ajusté, hors éléments exceptionnels et variation des stocks (CCS), un indicateur scruté par le marché, s'est en revanche effrité de 8%, à 3,5 milliards de dollars.

Le groupe a souligné que ses résultats avaient souffert en 2016 de la faiblesse des cours du pétrole et du GNL, malgré un rebond favorable des cours de l'or noir en fin d'année.

afp/rp

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Re : Shell

Doc, tu, pourrais nous reclasser tout cela sous "RDSA - Royal Dutch Shell , steplé ? ;-)

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Re : Shell

Shell va mieux mais est devenu trop tributaire du marché asiatique - Plus Europe


Nathaniel Taplin,
The Wall Street Journal

HONG KONG (Dow Jones)--Après 18 mois difficiles au cours desquels un plongeon des prix de l'énergie a succédé à la coûteuse acquisition de BG Group, Royal Dutch Shell a redressé la barre. Compte tenu des importantes cessions en cours et de l'amélioration des cash-flows, le généreux dividende du géant anglo-néerlandais de l'énergie apparaît en outre mieux sécurisé. Cependant, ses perspectives à long terme sont liées à l'évolution des prix du gaz naturel et, de ce point de vue, l'avenir est nébuleux.

La relative faiblesse des résultats de Royal Dutch Shell au quatrième trimestre n'est pas excessivement préoccupante. Les résultats des activités amont devraient connaître une embellie en 2017, grâce à la répercussion des hausses de prix.

Le marché du gaz en Asie demeure le principal point d'interrogation. Bien que les prix dans cette région aient atteint un plancher début 2016, ils restent inférieurs de 20% au niveau qui prévalait au moment de l'annonce du rachat de BG.

Et bien que le groupe ait accompli du bon travail en s'ouvrant de nouveaux marchés tels que le Pakistan, l'Egypte ou Singapour, l'offre en Chine -le morceau de choix- reste abondante. Shell est désormais le premier fournisseur de gaz naturel liquéfié dans le pays. Et si la demande chinoise de gaz a rebondi, le ralentissement de la croissance de la demande de la part de l'industrie et du secteur de l'énergie en 2017 et 2018 pourrait constituer un nouveau fardeau.

Shell est mieux positionné après le rebond des prix de l'énergie et la diminution de son endettement. Mais l'avenir pour ses actionnaires est plus que jamais lié aux prix volatils du gaz en Asie et à la Chine.

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Re : Shell

La compagnie pétrolière envisage la possibilité d’une OPA sur BP PLC, mais attend de nouvelles baisses du cours de l’action et du prix du pétrole avant de prendre une décision. Au cours des dernières semaines, Shell a intensifié les discussions avec ses conseillers sur la faisabilité et les avantages d'un tel rachat. Aujourd'hui, Shell a presque deux fois la taille de BP, avec une valeur de marché d'environ 149 milliards de livres sterling. Le directeur général de Shell, Wael Sawan, a déclaré qu'il envisageait plutôt de procéder au rachat d’un nombre plus élevé d'actions Shell. Les pressions s’accumulent sur BP en vue d’améliorer sa rentabilité; le groupe a d’ailleurs annoncé des plans de cessions d'actifs, à réaliser d'ici 2027, et portant sur une valeur de 20 milliards de dollars.

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Re : Shell

Le géant énergétique britannico-néerlandais a réélu mardi son président, Andrew Mackenzie, et son CEO, Wael Sawan. Ce dernier a déclaré que dans le domaine des fusions et acquisitions, la barre était placée très haut, notamment en ce qui concerne l’éventualité d’une acquisition de BP. Actuellement, le niveau du cours de l'action Shell est intéressant comme outil d’acquisition contre actions. Tous les autres membres du conseil d'administration de Shell ont également été réélus.