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Boursomania » Matières premières et minières » Des avis? Pour ceux d'entre nous qui misent sur les mats prems
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(Bousier.com) - La dévaluation du yuan pose beaucoup de problèmes pour les matières premières, selon l'équipe de recherche de la Deutsche Bank. Pas les niveaux actuels, précise-t-elle, mais plutôt les parités à venir, si la tendance baissière perdure. L'analyste entrevoit quatre impacts principaux.
D'une part, dans la mesure où la Chine représente 45 à 50% de la demande mondiale de métaux, un yuan plus faible rendra les matières premières plus onéreuses à importer, ce qui devrait favoriser les arbitrages en faveur de la production locale, notamment sur le charbon et sur le zinc.
En second lieu, la plupart des matières premières sont actuellement soit à l'équilibre soit confrontées à une offre excessive. L'affaiblissement des devises des producteurs va amoindrir les coûts, mais aussi les prix.
Troisième point, la Chine est un exportateur croissant de ses surcapacités, particulièrement dans l'aluminium, l'acier et l'inox, ce qui rendra les groupes chinois plus compétitifs. Enfin, un contexte monétaire et financier plus tendu risque de peser sur la reprise de la demande.
Au final, la DB voit l'aluminium, l'acier et le zinc en première ligne pour souffrir de la situation.
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Les métaux industriels dégringolent après les dévaluations du yuan
Londres (awp/afp) - Les prix des métaux de base échangés sur le London Metal Exchange (LME) ont dégringolé après les deux premières dévaluations de la monnaie chinoise, les marchés s'inquiétant de la santé économique du plus gros consommateur de métaux industriels au monde.
"Il y a eu beaucoup d'attention portée aux dévaluations de la monnaie chinoise. (Elles) ont été interprétées comme le signe que l'économie du pays est dans une piètre situation et a absolument besoin d'être stimulée", a expliqué Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB Markets.
La banque centrale de Chine (PBOC) a commencé à abaisser mardi le taux de référence du yuan face au dollar et a continué à dévaluer sa monnaie face au dollar mardi, mercredi et jeudi.
Cette dévaluation de la monnaie chinoise est apparue comme étant destinée à enrayer le repli des exportations du pays, après la publication de statistiques décevantes en fin de semaine dernière.
Les deux premières baisses de la monnaie chinoise ont ainsi fortement pesé sur les matières premières libellées en dollar. Et, les métaux industriels, dont la Chine consomme entre 40% et 50% de la production mondiale, ont été particulièrement touchés.
"Un yuan plus bas rend (les) matières premières plus onéreuses pour les acheteurs chinois. Une monnaie chinoise plus faible peut soutenir les exportations du pays, mais cela affaiblit également sa capacité à importer les matières premières" a expliqué Daniel Sugarman, analyste chez ETX.
Les investisseurs ont commencé à se rassurer lorsque la banque centrale a expliqué jeudi qu'il s'agissait plus d'un "ajustement" technique de la valeur du renminbi ("monnaie du peuple", nom officiel de la devise chinoise) à la réalité du marché.
Le taux pivot a finalement été ramené à 6,3975 yuans pour un dollar vendredi une hausse légère du taux, contre 6,1162 yuans lundi, à la veille de la première baisse.
Le cuivre poursuit sa chute
Les cours du cuivre sont ainsi tombés mercredi à 5.062 dollars la tonne, un nouveau plus bas en six ans, avant de se reprendre légèrement jeudi.
Rapidement, "tout le monde s'est habitué à ces changements de taux de change, le marché est devenu plus calme et les achats ont repris doucement", ont résumé les analystes de Triland Metals.
À cause des inquiétudes sur la santé économique de la Chine, et de la surabondance d'offre, certains métaux industriels retrouvent des niveaux de faiblesse plus vus depuis la crise financière de 2008-2009, ont noté les analystes de Commerzbank.
Mais ces mouvements de ventes, largement exacerbés par les investissements spéculatifs, n'ont pas forcément grand lien avec les fondamentaux de marché.
"Dans l'état actuel des choses, nous estimons que le marché du cuivre sera équilibré cette année, et avec le niveau des stocks rapportés à la consommation hebdomadaire à leur plus bas depuis 2010, il y a peu de justifications pour une autre dégringolade des prix", a expliqué Leon Westgate, analyste chez ICBC Standard.
De leur côté, les cours de l'aluminium ont atteint mercredi leur plus bas niveau en six ans, à 1.553,50 dollars la tonne, tandis que les cours du zinc sont tombés à 1.730 dollars la tonne, leur plus bas depuis le 20 octobre 2011.
Le nickel tombe brièvement à ses niveaux de 2008
Les cours du nickel ont chuté mercredi à 9.100 dollars la tonne, leur minimum depuis le 12 septembre 2008.
"Le nickel a été vendu agressivement, réagissant à la dévaluation du yuan mercredi et a atteint des niveaux plus vus depuis le resserrement de crédit post-Lehman et la crise financière mondiale de 2008", a constaté Leon Westgate.
Même si les cours se sont depuis repris, repassant au dessus de 10.500 dollars la tonne grâce à de meilleurs volumes d'échanges, les analystes de Sucden Financial ont noté que le métal avait perdu 31% de sa valeur depuis le début de l'année, et que les perspectives du côté de la demande continuent de se détériorer.
Les tarifs de l'étain ont atteint mercredi leur plus bas niveau depuis le 23 juillet 2015, à 14.770 dollars la tonne.
Sur le LME, la tonne de cuivre pour livraison dans trois mois s'échangeait à 5.165 dollars vendredi à 12H15 GMT, contre 5.162 dollars le vendredi précédent à 11H00 GMT.
L'aluminium valait 1.572,50 dollars la tonne, contre 1.594,50 dollars.
Le plomb valait 1.742 dollars la tonne, contre 1.693 dollars.
L'étain valait 15.520 dollars la tonne, contre 15.305 dollars.
Le nickel valait 10.545 dollars la tonne, contre 10.845 dollars.
Le zinc valait 1.839 dollars la tonne, contre 1.853 dollars.
cv/acd/nas
(AWP / 14.08.2015 15h20)
L'heure des minières s'approche
Bonsoir à tous,
Pensez vous que Glencore pourrait faire faillite?
cordialement
Geoffrey
Bonsoir à tous,
SQM après un plus bas cette année à 12,65$, elle nous fait une belle remontée à 18,05$ avec un plus 7% aujourd'hui.
À tenir à l'œil.
Bonsoir à tous,
Dans la bonne ambiance actuelle elle prend encore 5% aujourd'hui.
http://www.financialmagazin.com/socieda -increase/
Parmis les minières, en voilà une qui remonte bien, j'en suis néanmoins encore à -13%. PRU 23,88$.
Good for you Lynx, pour ma part les minières et pétrolières sont plutôt vers les -40 à -50%. Alors que faire... Trop tard pour vendre, le cycle devrait bientôt s'inverser. Ou alors faire de l'arbitrage entre les valeurs pétrolières? Vendre les fabricants de matériel pour le forage ou qui font de l'exploration sismique pour acheter des sociétés qui font de l'extraction? Aller de l'amont vers l'aval?
Si ce sont de bonnes sociétés, pourquoi ne pas les conserver.
Luc
Bonjour Luc,
Dans les valeurs pétrolière, je ne compte pas vendre, ni Vallourec ni CGG.
Mais comme tu dis, avec mes Pru à 22 et à 6, je serais bien à -50 et à -30%.
Bon weekend.
Les compagnies minières durement frappées par la chute des cours:
Tour d'horizon des matières premeières
Métaux industriels: les prix se stabilisent, malgré le pétrole et la Chine
Londres (awp/afp) - Les prix des métaux de base échangés sur le London Metal Exchange (LME), après avoir baissé en début de semaine, sont finalement parvenus à se stabiliser, évoluant dans de faibles marges alors qu'ils avaient fortement décroché le mois dernier.
Après avoir atteint pour la plupart des plus bas en plus de cinq ans fin novembre, les prix des métaux industriels s'étaient quelque peu repris la semaine dernière, et tentaient depuis de se maintenir tant bien que mal à ces niveaux, malgré le fort décrochage des prix du pétrole en début de semaine et la publication de données chinoises mitigées.
Les cours du pétrole ont en effet plongé cette semaine à leurs plus bas en près de sept ans, après que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a décidé la semaine dernière de ne pas réduire sa production et que l'Agence internationale de l'Énergie (AIE) a de nouveau estimé vendredi que la production de brut allait continuer à augmenter l'an prochain.
Le marché des métaux industriels a par ailleurs accueilli avec prudence l'accélération de l'inflation en Chine, au lendemain de l'annonce d'un recul pour le cinquième mois consécutif en novembre des exportations du pays, tandis que ses importations enregistraient leur treizième recul mensuel d'affilée, témoignant d'une demande toujours terne et de l'essoufflement persistant de la deuxième économie mondiale.
Ainsi selon Tamas Varga et Stephen Brennock, analystes chez PVM, le ralentissement économique de la Chine pèse sur la confiance des investisseurs et le mouvement de vente actuellement à l'oeuvre sur les marchés des matières premières n'a pas connu de répit après la publication de ces données peu encourageantes sur le commerce en Chine.
Mais à partir du milieu de la semaine, les prix des métaux industriels ont réussi à se stabiliser, bénéficiant notamment de l'affaiblissement du dollar et de la perspective de nouvelles réductions de production, avant d'amorcer un rebond vendredi.
Les métaux de base étant libellés en billets verts, toute perte de vigueur du dollar a tendance à favoriser les investisseurs munis d'autres devises, qui sont dès lors encouragés à acheter.
"Si le sentiment du marché devait se retourner, cela pourrait contribuer à des prix considérablement plus élevés à court terme. Nous nous attendons à ce que les métaux profitent de hausses durables des prix une fois que les importantes réductions de production (prévues) seront réalisées, car cela va restreindre sensiblement l'offre et conduire à un marché beaucoup plus resserré", ont observé de leur côté les analystes de Commerzbank.
LE CUIVRE EN PHASE DE CONSOLIDATION
Les cours du cuivre ont fini vendredi quasiment à l'équilibre, parvenant à conserver les gains enregistrés la semaine précédente.
"Après s'être effondré de 10% au cours du mois de novembre, le marché du cuivre devrait se stabiliser, au moins à court terme", ont commenté les analystes de Barclays.
"Maintenant que les prix semblent s'être fixés, nous pensons que lors des prochaines semaines, nous pourrions entrer dans une autre phase similaire (à celle d'octobre) caractérisée par une faible volatilité des prix, peu de mouvements durables des cours et une absence de direction claire à partir des fondamentaux", ont-ils ajouté.
En outre, les analystes de Commerzbank faisaient remarquer qu'à en croire les dernières données sur les importations de cuivre en Chine, qui ont augmenté de plus de 10% sur un an en novembre, la demande chinoise pour le métal rouge est plus importante que ce que beaucoup d'observateurs du marché supposent.
L'ALUMINIUM SE STABILISE AVANT DE NOUVELLES COUPES
Comme le cuivre, les cours de l'aluminium se sont stabilisés cette semaine et pourraient finir par profiter des réductions de production annoncées, notamment en Chine, qui est le premier pays producteur d'aluminium avec 40% de l'offre mondiale.
Après les producteurs de zinc, de nickel et de cuivre, quatorze entreprises représentant les 3/4 de la production chinoise d'aluminium se sont réunies jeudi dans le sud du pays afin de discuter de la meilleure façon de réagir à la faiblesse des prix.
Elles se sont engagées vendredi à ne pas redémarrer leurs capacités excédentaires de productions déjà mises à l'arrêt et à se montrer "encore plus flexibles" et à "ne pas mettre en service pendant un an leurs nouvelles capacités déjà construites".
Les analystes de Commerzbank ont cependant observé qu'il faudrait que les réductions de production soient considérables pour permettre d'éliminer la surabondance d'offre pesant sur le marché chinois, et donc aussi sur le marché mondial.
En effet, selon eux, les réductions similaires de production décidées par les producteurs de zinc, de nickel et de cuivre n'ont entraîné qu'un rebond temporaire des prix. Ils s'attendent tout de même à ce que les producteurs de métaux poursuivent leur politique de diminution de production.
De son côté, le plomb a poursuivi cette semaine la marche en avant débutée fin novembre pour atteindre vendredi un nouveau plus haut depuis fin octobre, à 1725 dollars la tonne.
Sur le LME, la tonne de cuivre pour livraison dans trois mois s'échangeait à 4673 dollars vendredi à 11H45 GMT, contre 4612 dollars le vendredi précédent à 15H00 GMT.
L'aluminium valait 1497 dollars la tonne, contre 1520 dollars.
Le plomb valait 1714,50 dollars la tonne, contre 1670,50 dollars.
L'étain valait 14'575 dollars la tonne, contre 14'975 dollars.
Le nickel valait 8640 dollars la tonne, contre 9095 dollars.
Le zinc valait 1549,50 dollars la tonne, contre 1553,50 dollars.
afp/buc
(AWP / 11.12.2015 16h06)
Investissez dans la truffe. Vu sa rareté à cause des températures clémentes, son prix à doublé.
Luc
Bref, il faut se lancer dans l'élevage canin, alors ?
Acier: Pékin veut réduire sa surproduction, exportations visées par des taxes US
Pékin (awp/afp) - Réduire les surcapacités de production de ses aciéries est "une priorité" de la Chine pour les cinq ans à venir et un fonds pourrait être établi pour aider financièrement les entreprises, a rapporté mercredi un média officiel, citant une fédération professionnelle.
Ces déclarations interviennent alors que les Etats-Unis ont décidé d'appliquer des taxes de 256% sur les importations d'acier inoxydable provenant de Chine, selon une décision du Département du commerce rapportée mercredi par l'agence Bloomberg.
Le ministère américain a estimé que la Chine vendait son acier à des prix exagérément bas et subventionnait largement ses entreprises productrices. L'Inde, l'Italie et la Corée du Sud, eux aussi visés pour les mêmes raisons, sont soumis toutefois à des droits de douane très inférieurs.
Ces taxes américaines, en addition de droits de douane déjà adoptés en novembre et pouvant s'élever jusqu'à 236% sur l'acier chinois, constituent une barrière quasi-insurmontable pour la production du géant asiatique, commentait Bloomberg.
Conscient de ses difficultés croissantes à écouler ses excédents de production dans le monde, Pékin va imposer à son industrie sidérurgique de réduire drastiquement son offre, a expliqué la fédération chinoise du secteur, citée par l'agence étatique Chine nouvelle.
Une priorité s'inscrivant dans les efforts de rééquilibrage de l'économie chinoise, au détriment d'une industrie lourde peu rentable et très endettée.
Les autorités envisageraient d'établir "un fonds" pour compenser les pertes subies par les entreprises, a ajouté l'organisation professionnelle, sans livrer de détails.
Les sidérurgistes chinois pâtissent durement du vif ralentissement de la croissance du géant asiatique, sur fond de contraction continue de l'activité manufacturière et de déclin de l'immobilier.
Face à une demande intérieure et internationale morose, les aciéristes ont légèrement réduit leur offre: sur les dix premiers mois de 2015, la production d'acier brut a reculé de 2,2% sur un an, à 675 millions de tonnes.
Mais cela n'a pas suffi: la Chine, qui représente la moitié de la production mondiale d'acier, se retrouve aujourd'hui avec des surcapacités de 340 millions de tonnes --soit le double de la production européenne, selon des estimations de fédérations occidentales.
Les entrepôts débordent, les stocks s'accumulent, et les aciéristes, dont la moitié sont déficitaires, tentent donc de renforcer leurs ventes à l'étranger.
Sur les onze premiers mois de 2015, les exportations chinoises d'acier ont bondi de 22% sur un an, pour atteindre un volume record de 102 millions de tonnes.
Et Pékin leur a donné début décembre un coup de pouce supplémentaire, en abaissant significativement les taxes à l'exportation sur certains produits d'acier, comme la fonte brute.
Le déferlement de cet acier chinois, à des prix défiant toute concurrence, alimente une forte pression sur les cours et compromet la fragile reprise des sidérurgistes européens et américains.
afp/rp
(AWP / 23.12.2015 13h01)
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